Érotisme Fétichisme Hardcore Bondage SM
Un récit d’enlèvement et de séquestration d’une jeune femme dans un sinistre sous-sol.
Chapitre 1 : Star montante des réseaux sociaux
Chapitre 2 : Un contenu plus audacieux
Chapitre 3 : Une promenade innocente
Chapitre 4 : La capture
Chapitre 5 : L'irréparable
Chapitre 6 : Le sous-sol
Chapitre 7 : Le premier dominateur
Chapitre 8 : La trique, la sodomie et le fouet
Chapitre 9 : D'un maître à l'autre
Chapitre 10 : Le fétichiste romantique
Chapitre 11 : Ça se termine quand même par une pipe
Chapitre 12 : La brute
Chapitre 13 : Cruelle suspension
Chapitre 14 : Le dresseur
Chapitre 15 : La chienne
Chapitre 16 : Une enquête qui avance ?
Chapitre 17 : Une bien désagréable réunion
Chapitre 18 : Gang bang
Chapitre 19 : La suceuse
Chapitre 20 : Le spectacle du dimanche
Nadège Renard a arrêté ses études de secrétariat il y a deux ans et exerce depuis le métier lucratif d’influenceuse. Elle est jeune, jolie et possède un indéniable charme naturel. Elle se met donc en scène sur divers réseaux sociaux dans des tenues variées qui dévoilent son corps et conseille à ses followers des crèmes hydratantes ou des boissons énergisantes. L’avantage avec cette activité, c’est qu’on peut la mener de n’importe où et Nadège n’a pas eu besoin de monter à Paris pour se faire connaître. Elle réalise ainsi la plupart de ses contenus dans sa ville natale d’Annecy. Elle est secondée dans son travail par son copain Mickael, qui est photographe et vidéaste.
Nadège sait cependant que pour conserver son audience, elle a besoin de poster des photos sexy, voire hardcore, sur des sites alternatifs payants. C’est à cette tâche que la séance du mardi 12 septembre est consacrée. La belle n’a pas à se forcer pour prendre des poses érotiques, écarter les jambes, sucer son amant ou recevoir son sperme sur le visage car elle est très libérée. Dans son entourage, on la qualifie même de salope. Toutefois, depuis qu’elle a rencontré Mickael et entamé son travail d’influenceuse, elle s’est quelque peu stabilisée.
Nadège et Mickael aiment effectuer des balades dans les Alpes afin de se ressourcer. Le mardi 12, après la séance photo, les deux amoureux se promènent ainsi dans la forêt au cœur du massif des Aravis et découvrent un charmant refuge à l’intérieur duquel ils font une pause. Ils remarquent que d’autres randonneurs sont passés par là car il reste des chopes vides et une bouteille d’alcool fort sur la table. Cela ne les empêche pas de s’allonger sur une banquette et de commencer à se caresser.
Nadège et Mickael sont interrompus dans leur sieste sensuelle par l’arrivée de visiteurs, sans doute ceux qui ont laissé les verres et la bouteille. Il s’agit de quatre hommes d’âge mûr assez peu sympathiques. Tournant autour de la jolie blonde, ils lui adressent des regards tout à fait équivoques et prononcent des phrases énigmatiques ponctuées de sombres silences. Aussi, les deux jeunes gens quittent précipitamment le refuge. D’ailleurs, la nuit est en train de tomber et il est grand temps de rentrer, même s’ils ne se sont pas aventurés très loin dans la montagne. Ils marchent environ une demi-heure dans la nuit, d’un bond pas car l’influenceuse a été inquiétée par cette rencontre. Et elle n’a pas tort car les quatre hommes du refuge sont tout sauf de gentils touristes mais des prédateurs sexuels. Connaissant très bien les lieux, ils tendent au couple un traquenard. Mickael est assommé tandis que Nadège est capturée et promptement déshabillée. Elle comprend tout de suite ce que ses agresseurs ont en tête tant leurs yeux sont brillants dès qu’ils se posent sur son corps.
Nadège subit les assauts sexuels des quatre individus. Trois la pénètrent avec violence alors que le dernier se contente d’une fellation. Terrorisée, elle exécute ce qu’on lui ordonne. Elle perd totalement le fil des évènements lorsqu’elle aperçoit l’une des brutes soulever une lourde pierre et la jeter sur Mickael qui pousse un cri strident avant de se taire à jamais. Quand elle se réveille, elle est toujours nue mais enfermée dans une cage en fer dans un sous-sol sinistre. Quelque temps plus tard, ses agresseurs réapparaissent.
L’un des ravisseurs ouvre la porte de la cage. Comme elle rechigne à sortir, il lui hurle dessus et l’insulte. Un autre, celui qui l’avait violemment prise par derrière dans la forêt, déclare d’une voix terrible : « A genoux, les mains derrière la tête ! Ecoute bien ! On sait que t’es une salope, on connaît tes photos. Tout ce qu’on te demande, c’est d’obéir sans poser de questions. Et tout se passera bien. A partir d’aujourd’hui, tu es notre esclave. Tu suces, tu écartes les jambes, tu montres ton cul. » Suite à ce discours, des larmes coulent sur les joues de Nadège. Puis, elle est prise en charge par les quatre individus qui lui passent des menottes de couleur rose aux poignets et aux chevilles, lui mettent un collier en cuir autour du cou, y attachent une laisse et la promènent à quatre pattes à travers la pièce. Elle découvre ainsi avec angoisse les divers instruments qui la meublent, chaînes, cages, piloris, tables métalliques, un véritable donjon. Toutefois, pendant ce temps, l’inspectrice Clara Bertrand, qui a été alertée de la disparition des deux jeunes gens, mène l’enquête dans la forêt et résout déjà une partie du mystère.
Mercredi 13 septembre. Nadège Renard a passé sa première nuit dans le sinistre sous-sol, enfermée nue dans la cage. Elle n’a quasiment pas dormi, ressassant les terribles scènes de la veille, le viol collectif, le meurtre de son petit ami et les déclarations sordides de ses ravisseurs sur son futur. Au petit matin, l’un des bourreaux fait son retour. Il s’agit de celui qui a tué Mickael et qui l’a traitée de salope et d’esclave. Après l’avoir à nouveau copieusement insultée, il lui révèle qu’il la suit depuis longtemps sur les réseaux sociaux et qu’il connaît ses photos érotiques et même pornographiques. A genoux, la jeune femme écoute, gênée. Elle se laisse alors attachée sur une curieuse table métallique, les jambes écartées, offerte à tous les sévices. Elle est ainsi d’abord fouettée puis pénétrée par un ustensile que son sadique oppresseur appelle la trique. Il se régale visiblement à aller et venir dans sa chatte et à tenter de la faire jouir.
La trique profondément enfoncée dans son sexe, la jolie blonde grimace de douleur. Son tortionnaire ricane et lui déclare qu’elle doit l’appeler maître Jean si elle souhaite qu’il atténue ses tourments. Comme elle reste silencieuse, la flagellation reprend sur ses seins et ses cuisses. Elle s’exécute alors en suppliant « maître Jean » d’arrêter les coups. Détachée de la table métallique, elle profite de quelques instants de répit, allongée sur le sol glacial. Mais Nadège est rapidement fixée sur un autre appareil, debout, les bras en l’air, retournée, le cul prêt à recevoir les assauts de son ravisseur. Celui-ci la pénètre en effet vigoureusement par derrière, assez longuement, avant de décider de passer par la voie anale. Il lui explique sur un ton doucereux qu’il est un adepte de la sodomie et qu’il espère qu’elle aussi car ce sera à présent son quotidien. Son membre viril, alors dur comme du bois, dévaste l’étroit orifice et elle hurle.
Maître Jean change de position la jolie blonde et elle se retrouve attachée bras et jambes en l’air, dos à son agresseur. Ce dernier en profite pour la sodomiser encore plus profondément. Une ultime humiliation vient mettre un terme à cette pénible épreuve. Le cruel dominateur lui répand son épaisse semence sur le corps alors qu’elle est encore immobilisée et totalement ouverte. Sans d’autres mots que « pute », « salope » et « chienne », elle est ramenée à sa cage. Avant de remonter à l’étage, maître Jean lui lance : « ce sera un plaisir de t’enculer tous les jours ». Nadège passe seule une partie de la journée avant qu’un autre individu fasse son apparition. Il s’agit d’un des deux jeunes de la bande, celui qui semble le plus gentil, si l’on peut dire. Lors de la fatale nuit, il ne l’a pas brutalisée, quoique qu’il l’ait pénétrée. Et, en effet, le premier contact est plutôt encourageant même si la jeune femme reste plus que méfiante et n’oublie rien. Chose étonnante, elle est conviée à l’étage et autorisée à s’allonger sur une couchette moelleuse.
Nadège apprend rapidement le prénom de ce second ravisseur, Stéphane. Il lui parle avec douceur, lui fait des compliments, lui demande ce qu’elle aime. Mais la jolie blonde comprend également que quelque chose ne tourne pas rond chez lui. Il voudrait qu’elle devienne sa petite amie et évoque le futur, pourquoi pas un mariage. Il ne peut se lasser de regarder son magnifique corps et admire en particulier ses petits pieds qu’il se met à lécher puis qu’il orne de légères ballerines. Stéphane est étrange mais au moins il n'est pas violent. L’influenceuse a même droit à des habits et à un dîner en tête à tête.
A la fin du repas, Nadège comprend toutefois, qu’au final, il souhaite la même chose que les autres, à savoir disposer librement de son corps. En effet, il lui déclare subitement, sur un ton calme mais qui ne souffre pas de réplique : « Viens me sucer, chérie ! ». La jolie blonde se dit qu’elle n’a pas le choix et que Stéphane pourrait être un allié. Elle se livre donc à une remarquable fellation. Autre bizarrerie du jeune homme : il éjacule dans une assiette et fait lécher à quatre pattes sa soi-disant fiancée. Puis, satisfait, il redescend avec elle au sous-sol, la portant dans ses bras de manière romantique. Malgré les supplications de l’influenceuse, qui aimerait bien dormir ailleurs que dans une cage, le ravisseur l’enferme à clé et quitte le sous-sol, la laissant seule avec ses tourments.
Jeudi 14 septembre. Nadège a passé sa seconde nuit dans le sous-sol. Elle commence à perdre la notion du temps et ne sait pas combien d’heures elle est restée seule enfermée. C’est avec angoisse qu’elle entend des pas dans l’escalier, le grincement de la grille d’entrée et qu’elle voit surgir l’un des ravisseurs qui la terrorisent. Il s’agit d’un des deux jeunes, le plus agressif, celui qui l’a violée en premier dans la forêt. Après l’avoir extraite de la cage, il lui fait quelques révélations tout en la déshabillant : « J’habite à côté de chez toi à Annecy et je t’ai souvent suivi dans la rue lorsque tu faisais des photos de petite pute. Tu ne peux pas savoir combien de temps j’ai passé à rêver que je te baisais. A présent, c’est la réalité. » Puis, il abuse d’elle à nouveau, lui écartant les jambes et lui léchant la chatte, la retournant et la prenant en levrette. Puis, la sodomisant.
Ensuite, la brute lui enfourne son sexe dans la bouche et éjacule sur son visage défait. Il l’attrape par les cheveux et la gifle à plusieurs reprises. Il lui ordonne de se tenir à quatre pattes la tête baissée et pose un pied sur son cul. Les paroles qu’il prononce alors la glacent : « Je suis un adepte de la domination dans mes relations avec les femmes, je pense que tu l’auras compris. Je te veux totalement soumise et salope. Et tu t’adresseras à moi en disant Seigneur Ted. Afin que tu comprennes combien je suis sérieux, tu vas maintenant subir une épreuve très douloureuse. » La jeune femme est tellement épouvantée qu’elle perd un peu le fil des évènements mais son agresseur n‘a pas menti. En effet, elle est empalée par le fondement les jambes en l’air et la tête retenue dans une boîte. La douleur est insoutenable et Nadège ne sait pas combien de temps elle reste sur le pal. Elle perçoit simplement au bout d’un moment qu’une autre personne est arrivée et discute avec Seigneur Ted.
Libérée du pal, la jeune blonde s’effondre sur le sol froid, le cul brûlant. Elle découvre alors que le terrible dominateur est parti mais qu’un autre ravisseur est présent. D’ailleurs, elle ne sait trop que penser de celui-ci. Lors de la nuit du viol, il n’a exigé qu’une fellation. Son visage est constamment inexpressif et il parle peu, il semble presque retardé. Il commence par lui donner à manger et cela lui fait un grand bien. Toutefois, il exige qu’elle prenne son repas dans une écuelle à même le sol et qu’elle se tienne à quatre pattes. Il l’appelle également « ma petite chienne » et déclare qu’il lui manque quelque chose. Pour cette raison, il l’attache sur le lit en fer et lui insère un gode-fourrure dans l’anus. Puis, il entreprend de la dresser comme un animal de compagnie, lui enseignant diverses positions humiliantes et lui interdisant de s’exprimer autrement que par des aboiements. Il est donc clair qu’il n’est pas mieux intentionné que les autres scélérats. Sur certains aspects, c’est même le plus inquiétant de tous.
Nadège n’en a pas fini avec cette éprouvante journée. Son dresseur lui commande une fellation avec des consignes précises. Elle doit se tenir à genoux, les mains croisées dans le dos, ses yeux ne devant pas quitter ceux du bénéficiaire de la sucette, qui doit être administrée avec le plus de douceur possible, en évitant le contact des dents. De ce point de vue, la jolie blonde sait manœuvrer et le dresseur est satisfait, répandant largement sa semence sur le visage de l’influenceuse, bouche ouverte et regard de pute. Le jeu de rôle n’est cependant pas terminé car Nadège, toujours à quatre pattes, est promenée en laisse à travers le sous-sol puis à l’extérieur de la maison. Cette première sortie provoque chez elle une timide bouffée d’espoir. Elle peut en effet voir les montagnes et visualiser approximativement l’endroit où elle est gardée captive.
Le dresseur exige de la jolie blonde qu’elle tienne avec exactitude son rôle de chienne. Elle doit donc régulièrement aboyer et est même durement sollicitée afin d’uriner la patte levée. Le visage encore souillé par le sperme de son ravisseur, cette promenade à quatre pattes et en laisse s’avère particulièrement dégradante. Ramenée à l’intérieur, Nadège est muselée, attachée par le cou au mur, sommée de rester à genoux dans son panier. Un évènement impromptu vient perturber l’après-midi, la sonnerie de l’entrée retentit. L’inspectrice Clara Bertrand poursuit ses investigations par une enquête de voisinage. Si elle n'obtient évidemment aucune information de la part du ravisseur inexpressif, elle découvre toutefois dans le jardin un objet qui la laisse perplexe. Cette intrusion aurait pu alerter le dresseur mais il n’en est rien. Pour lui, la soirée commence donc par une nouvelle fellation exécutée à genoux par la salope.
Samedi 16 septembre au matin. Alors que Nadège est assoupie, ses quatre ravisseurs entrent subrepticement au sous-sol. Réveillée, elle découvre avec effroi leur air soit lugubre soit lubrique. Une fois sortie de la cage, la jeune femme comprend qu’elle va devoir tous les satisfaire car ils se déshabillent, l’entourent et agitent leur sexe devant son visage. Elle, accroupie, résignée, se met à les sucer.
Mais la connexion qui semble exister entre Nadège et Stéphane n’est pas du goût des autres ravisseurs, notamment de Ted, et celui-ci interrompt la séance de fellation. La jolie blonde est promptement transportée dans un autre coin du donjon afin d’être immobilisée dans un curieux appareil métallique, courbée en deux et les fesses exposées. De cette manière, elle peut être prise de deux côtés, et sucer tout en étant pénétrée. Les deux mâles dominateurs expérimentent le dispositif avant de laisser leur place, une fois rassasiés, à leurs camarades moins entreprenants. Ce qui est sûr, c’est que Nadège passe sa matinée à se faire démonter. Puis, vient l’heure du repas de midi que les compères prennent ensemble à l’étage. La jeune femme a droit à une écuelle posée sur le sol et doit manger à quatre pattes sans utiliser ses mains.
A la fin de repas, les violations reprennent. Nadège passe sous la table de la cuisine et commence à sucer ses maîtres. La tournée de fellation se poursuit au salon afin que toute la bande puisse profiter du savoir-faire de la jolie blonde. Celle-ci comprend alors que c’est le week-end, que les quatre gredins ne travaillent pas et qu’ils peuvent jouir à loisir des charmes de leur esclave.
Dimanche matin, Nadège a été déguisée en indienne et chaussée de mules à fourrure rouges. Une danse et un strip-tease sont exigés d’elle. Elle se déhanche du mieux qu’elle peut en s’effeuillant de façon érotique. Le spectacle semble plaire à ses tortionnaires et le vicieux Ted lui ordonne ensuite de se masturber à l’aide d’un sextoy. Couchée sur une banquette ronde capitonnée, les jambes écartées, la soumise obéit, prenant presque plaisir à cette exhibition impudique. Soudain, la sonnette retentit, signifiant qu’un visiteur attend à l’entrée. Les quatre ravisseurs sortent immédiatement de leur transe et, sans paniquer, Ted et Jean redescendent la salope au sous-sol.