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Dans un univers médiéval-fantastique, trois humaines s’aventurent à leurs risques et périls sur le territoire du peuple orque.
Chapitre 1 : L'épée d'Aldor
Chapitre 2 : Une attaque brutale
Chapitre 3 : La poursuite
Chapitre 4 : Le sauvetage
Chapitre 5 : La route du désert
Chapitre 6 : L'arrivée au temple
Chapitre 7 : une étrange prêtresse
Chapitre 8 : Une étreinte inattendue
Chapitre 9 : L'invocation
Chapitre 10 : Un sort incertain
Chapitre 11 : La caverne souterraine
Chapitre 12 : La créature du bassin
Chapitre 13 : Les elfes
Chapitre 14 : La forêt enchantée
Chapitre 15 : La gardienne
Les trois jeunes femmes avaient suivi la piste jusqu’à une bâtisse isolée au cœur des hauts plateaux. C’était une belle journée d’été. Tenarys, la prêtresse blonde, avait consulté les prophéties. Solveig, la forestière aux cheveux auburn, les avait guidées à travers les montagnes. Quant à Marika, la guerrière venue des provinces orientales, elle avait protégé la petite troupe d’éventuels ennemis. A peine les trois aventurières ont-elles examiné les lieux qu’un individu apeuré sort de la maison. Interrogé, il leur apprend que ce qu’elles sont venues chercher se trouve bien ici : à savoir l’épée d’Aldor, un glorieux chef de guerre.
Solveig récupère l’arme mythique qui est censée avoir appartenu à l’un de ses ancêtres. Mais les jeunes femmes n’ont pas le loisir de plus discuter car une attaque survient. C’est qu’en effet elles se sont aventurées dans le domaine des orques, ces créatures cruelles et dégénérées, parodies d’êtres humains. Le combat est violent et rapide. Solveig et Marika sont deux redoutables guerrières et elles se débarrassent de leurs adversaires. En revanche, leur hôte est tué et Tenarys est enlevée.
Aussitôt, une course poursuite s’engage à travers les montagnes entre le ravisseur de Tenarys et les deux amies de cette dernière. Le périple se termine de nuit, dans le désert, dans un village orque. Quel sort les immondes créatures vont-elles réserver à Tenarys ?
Un étrange rituel est en préparation. Et il n’augure rien de bon. Tenarys est attachée entre deux poteaux, nue, au centre du village, exposée aux regards et aux attentions malveillantes des orques, qui ont soit l’air stupides, soit l’air méchants. Solveig et Marika ont bien étudié la situation et, malgré leur nette infériorité numérique, n’hésitent pas et passent à l’offensive afin de délivrer leur compagne. Le combat est acharné et plusieurs orques sont tués. Malgré leur vaillance, Solveig et Marika succombent sous le nombre et sont à leur tour capturées.
Les trois captives, nues, tenues en laisse et les mains attachées derrière le dos, sont emmenées dans le désert par une petite troupe d'orques, à travers des contrées inconnues d’elles. Même si la communication est difficile, les jeunes femmes et leurs conquérants ne parlant pas la même langue, elles identifient rapidement les trois personnages. Il y a d’abord Thorbag, le chef maniant deux épées, qui lorgne sur Tenarys. Ensuite, sa compagne, la jalouse Urzul, vilaine et bossue. Enfin, le lourdaud Bougrash, avec son marteau à deux mains. Après une longue journée de voyage, les six voyageurs font halte pour la nuit dans une oasis qui comporte une vieille tente. Afin qu’elles ne s’enfuient pas, les trois captives sont attachées dans des positions inconfortables, en particulier Marika. Toutefois, les jeunes femmes s’estiment encore chanceuses. Aucune d’entre elles n’a été tuée ni violée par un orque.
Après la nuit passée dans l’oasis, le voyage reprend à travers le désert. Les jeunes femmes sont solidement attachées et leurs gardes attentifs. Ainsi, malgré son audace, Marika ne trouve pas d’occasion à exploiter dans le but de tenter une évasion. Quant à Tenarys, sans son bâton magique et sa liberté de mouvement, ses pouvoirs sont grandement diminués. La petite troupe parvient alors à un temple fait de colonnes et d’obélisques. Urzul, toujours vindicative, leur fait signe de s’agenouiller. Les trois jeunes femmes n’ont pas d’autre choix que de s’exécuter.
La descente le long d’un majestueux escalier de pierre mène les trois aventurières et leurs ravisseurs au cœur du sanctuaire. Là, une créature féminine à la peau verte les attend, aux côtés de laquelle deux serviteurs au comportement grotesque s’agitent. Tenarys identifie la mystérieuse femme comme le rejeton monstrueux d’un orque et d’une elfe et la prêtresse d’un culte maudit, le Cornu. Surtout, elle comprend que les évènements vont prendre une tournure dramatique car elle est enchaînée nue et les jambes écartées sur un autel de pierre.
La prêtresse, qui se nomme Luyana, prend alors la direction des opérations. Marika et Solveig sont pourvues de colliers et de menottes métalliques puis conduites jusqu’à des cages dans lesquelles elles sont enfermées. Tenarys, écartelée sur la pierre froide, voit la semi-elfe à la peau verte ramper vers elle d’un air lubrique. Peut-être son sort ne sera-t-il finalement pas si terrible ? Luyana frotte leurs deux sexes l’un contre l’autre, ce qui lui procure du plaisir mais scandalise la vilaine Urzul. Les orques vont-ils se disputer ? Non, car lorsque la nuit tombe le rituel commence. La prêtresse entonne des chants dans une langue inconnue qui terrifie les trois jeunes femmes.
Enfermées dans leurs cages, Solveig et Marika discernent avec effroi une forme sombre émerger d’un escalier souterrain. Cette créature est-elle un orque ? Un démon ? Un dieu ? Quant à Tenarys, la première chose qu’elle remarque c’est le gigantesque membre viril du nouvel arrivant. Elle pousse un cri déchirant lorsque le monstre se couche sur elle et la pénètre.
La saillie ne dure que quelques instants, le temps pour le monstre d’injecter sa semence dans le corps de Tenarys. Le rituel est alors terminé et la jeune blonde violée est installée dans une des cages aux côtés de Marika qui peut la consoler. Ou du moins, tenter de le faire. Le lendemain, les ravisseurs des jeunes femmes quittent le temple. Ces dernières restent donc prisonnières de Luyana. Pour le pire ? Ensuite, c’est au tour de Solveig d’avoir des problèmes. Les orques la sortent de sa cage et commencent à la tripoter sous le regard amusé de la semi-elfe. Que comptent-ils donc faire d’elle ?
Attrapée par les deux gardes au regard lubrique, Solveig est conduite par l’escalier souterrain au cœur du sanctuaire orque. Les ténèbres la recouvrent peu à peu et elle abandonne ses deux camarades qui sont terrifiées à cette idée. Solveig découvre alors une gigantesque caverne parcourue de lueurs rougeâtres et aux parois incertaines. Elle est promptement fixée à une armature de bois qui la force à rester courbée en deux, offerte à ses tourmenteurs. Ceux-ci ne tardent pas à la pénétrer, l’un après l’autre, et avec vigueur. Mise à genoux, elle ne peut que constater sa déchéance. Une lumière orange émane soudain d’un bassin de marbre installé dans la grotte. Et un horrible tentacule en jaillit !
Les deux orques se dépêchent de libérer Solveig de ses entraves métalliques. Cela n’augure rien de bon pour l‘aventurière. En effet, les tentacules, qui se terminent par d’affreuses mains, se multiplient et agrippent la jeune femme. Tenue par les pieds et les bras, elle est violemment tirée vers le bassin puis plongée dans l’eau chaude et orangée. Une étrange douceur l’envahit tandis qu’elle disparaît dans l’onde aux propriétés mystérieuses. Pendant ce temps, Marika a été sortie de sa cage et la prêtresse Luyana use de ses sortilèges afin de la soumettre à ses volontés. Malgré la force d’âme de la guerrière, celle-ci est vaincue et elle se traîne à quatre pattes aux pieds de la sorcière.
Mais Luyana est intéressée par autre chose que les compétences martiales de Marika. Elle désire ce corps blanc immaculé et ce sexe inviolé. Allongées l’une sur l’autre, les deux jeunes femmes se caressent et se lèchent. Marika est-elle sous l’emprise de la magie ou du charme de la sorcière verte ? se demande Tenarys, qui elle aussi a subi ses assauts irrésistibles. En tout cas, c’est comme une chienne docile que Solveig suit sa maîtresse et laisse sa camarade seule dans la cage. A la nuit tombée, Tenarys entend des chuchotements et des bruits furtifs. Soudainement attentive, elle voit apparaître deux petites elfes autour de sa prison. Luthien, dont la tête rousse est ornée de bois, lui assure qu’elles vont la délivrer. Indis, dont les ailes de libellule lui permettent de voler, s’active d’ailleurs en ce sens.
Les deux elfes sont débrouillardes et possèdent certains pouvoirs magiques. Elles parviennent ainsi sans difficulté à ouvrir la prison de Tenarys. La petite bande s’enfuit sans plus attendre à travers le désert. Evidemment, la prêtresse blonde pense à ses deux camarades dont le sort lui reste inconnu. Mais elle a bien conscience qu’elles ne sont pas de taille toutes les trois à lutter contre Luyana et ses sbires. En revanche, peut-être est-il possible d’aller chercher de l’aide ? Après la fuite éperdue et une nuit passée dans la forêt, avec l’angoisse de se faire rejoindre et attraper de nouveau, les deux elfes et Tenarys reprennent leur marche, le paysage devenant verdoyant et même enchanteur. La jeune femme, afin de couvrir sa nudité, s’est confectionnée une robe végétale tandis que les elfes manifestent une gaieté contagieuse. Il est clair qu’elles guident Tenarys quelque part.
Après une courte journée de marche, les trois camarades arrivent devant une hutte installée en pleine forêt. Tenarys s’interroge sur l’identité des occupants mais n’éprouve aucune crainte. C’est alors qu’une elfe aux cheveux cuivrés et au corps sublime fait son apparition. Elle est seulement vêtue de feuilles dorées qui couvrent son sexe et ses seins. Elle se présente sous le nom de Morwen, gardienne des bois humides, et ennemie de Luyana. Elle écoute le récit des tristes aventures de Tenarys et lui offre sa protection. En attendant d’aller secourir les captives du temple orque, les deux jeunes femmes se calfeutrent à l’intérieur de la hutte, à l’écart des regards des petites elfes, et se découvrent mutuellement.