Érotisme Fétichisme Hardcore Bondage SM
A la fin du Moyen-Age, les épreuves d’Isabella Monti, jeune et belle italienne emmenée en Perse comme esclave.
Chapitre 1 : Le marché de Chiraz
Chapitre 2 : Milanka et son maître
Chapitre 3 : Milanka sort le grand jeu
Chapitre 4 : L'intendant Orcan
Chapitre 5 : La première épreuve d'Imani
Chapitre 6 : Isabella et Haroun
Chapitre 7 : Exposée à quatre pattes
Chapitre 8 : Une passion fulgurante
Chapitre 9 : Deux esclaves aux sorts opposés
Chapitre 10 : Une réaction inappropriée
Chapitre 11 : La condamnation d'Imani
Chapitre 12 : Tondue et flagellée
Chapitre 13 : Empalée
Chapitre 14 : Une leçon retenue
Chapitre 15 : Un destin funeste
Chapitre 16 : Isabella est vendue
Chapitre 17 : Les arènes de Chiraz
Chapitre 18 : Offerte au vainqueur
Chapitre 19 : Destins croisés
Chapitre 20 : Jeux dangereux
Chapitre 21 : Voyage à trois
Chapitre 22 : Éden ou bagne ?
Isabella ne tremble pas. Elle est résignée à son sort, elle sait qu’elle deviendra bientôt l’esclave d’un riche personnage de Chiraz. Toute la région est alors dominée par les Timourides, les fils du terrible Tamerlan. La voluptueuse blonde, issue de la prestigieuse famille toscane des Monti a été capturée à l’été 1420 par des pirates arabes au large de la Sicile. Sur l’humiliante estrade, à ses côtés, d’autres malheureuses partagent sa destinée : Milanka, une slave aux longs cheveux bruns dont le village a été rasé par les Turcs ottomans ; Imani, une belle africaine razziée par les ennemis de sa tribu en guise de vengeance. Toutes les trois se retrouvent entre les mains du marchand d’esclaves Haroun, un homme affable mais uniquement soucieux de ses intérêts, qui les exposent nues dans une rue animée de la cité. Après avoir été inspectées de manière avilissante, Imani et Milanka sont rapidement achetées.
Isabella Monti ne sera pas vendue aujourd’hui. Elle est donc ramenée nue et enchaînée jusqu’à la demeure de Haroun. Quant à Milanka, elle passe sa première nuit au service de son nouveau maître, le marchand Marzban, descendant d’une riche famille persane. La jeune femme a été habillée par des domestiques et des consignes précises lui ont été données. Docile, elle les applique consciencieusement. Elle sert le thé à genoux, garde les yeux baissés, danse avec sensualité lorsque le marchand le demande. Comme le lui ont appris les autres serviteurs, elle a de la chance, le maître est bon.
Milanka ondule et se dévoile. Nue, elle enchaîne les positions érotiques à même de satisfaire son maître. Lorsque celui-ci lui fait signe, elle approche hardiment, l’embrasse puis se met à genoux afin de le sucer. Elle délivre une longue fellation que Marzban n’est pas prêt d’oublier. La jeune femme sait qu’une partie de sa vie se joue à cet instant précis. Elle sent qu’elle peut séduire le marchand et ainsi améliorer son sort.
Marzban décharge abondamment sa semence sur le visage de Milanka qui la reçoit pleine d’avidité et qui reste soumise, le visage souillé, aux pieds de son maître. Elle est décidée à tout accepter pour l’instant, sans aucune réticence. La situation d’Imani est loin d’être aussi favorable. L’homme qui l’a achetée est un fonctionnaire de l’émir, ancien soldat de l’armée de Tamerlan, à présent intendant général. Il s’appelle Orcan et se révèle cruel et brutal. En effet, la nouvelle esclave dort nue dans une prison et, lorsqu’elle en est sortie, c’est pour être aussitôt attachée à un poteau et fouettée. Orcan ne donne aucune justification à cette punition. Il se contente de hurler ses ordres et de frapper.
Les coups de fouet du sinistre intendant se concentrent sur les fesses et la poitrine d’Imani dont les cris déchirants ne percent toutefois pas les murs du donjon. Après la flagellation, la pénétration. Toujours d’une autorité indiscutable, Orcan suspend la belle africaine sur un appareil de bois pourvu d’un long manche en bois qui lui rentre profondément à l’intérieur du sexe. Incapable de bouger, elle est abandonnée ainsi par son maître pour plusieurs heures fort douloureuses.
Isabella Monti n’est pas encore vendue. Il faut dire que le marchand d’esclaves a fixé un prix très élevé la concernant. En effet, les voluptueuses blondes aux yeux bleus sont rares dans la région. En attendant, Haroun a décidé de l’utiliser pour son plaisir personnel mais également de la dresser pour son futur maître. Un matin comme d’autres, la jeune femme est donc immobilisée dans des positions inconfortables à l’aide de menottes métalliques et de cadres en bois. D’abord installée à genoux, elle est ensuite fixée debout, prête pour la saillie. Cette scène humiliante se déroule sur la terrasse du toit de la demeure d’Haroun, en plein cœur de la ville de Chiraz.
Le marchand d’esclaves laboure consciencieusement la jolie blonde et fait bien attention à ne pas répandre en elle sa matière fertile. Une fois rassasié, il bascule la table de bois sur laquelle Isabella est attachée et cette dernière se retrouve bloquée à quatre pattes, le cul en l’air, à deux mètres du sol de la terrasse, offerte à la vue des habitants de Chiraz. Peut-être espère-t-il ainsi attirer quelque riche acheteur potentiel ?
Dans la luxueuse résidence de Marzban, Milanka poursuit son habile entreprise de séduction. Elle a l’impression que le marchand est complètement fou de son corps et qu’il ne peut se passer d’elle. Ils passent en effet des heures à faire l’amour et la ravissante brune emploie la gamme entière de ses compétences afin de le satisfaire.
Ayant une fois de plus avalé le sperme de son maître, Milanka le contemple à genoux sur un fauteuil de velours, l’air docile mais certaine de sa victoire. A l’inverse, le calvaire d’Imani continue. Elle passe toutes ses nuits nue dans la froide cellule et n’en est extraite que pour être brutalisée. Et Orcan fait preuve d’une imagination redoutable dans ce domaine. Sa dernière acquisition est une cage métallique qui maintient sa pauvre victime à quatre pattes, les fesses accessibles, les bras cruellement attachés. Evidemment, la jolie africaine y est rapidement enserrée.
Afin d’accroître l’immobilisation dans la cage, Orcan a prévu de pénétrer l’esclave noire à l’aide d’une longue tige métallique fixée à l’arrière du cadre. Il lui montre d’abord, le sourire aux lèvres, le large embout qui va entrer profondément en elle. Puis, il s’exécute et Imani pousse un long cri de détresse. Pour le maître, ce n’est que le début des réjouissances. En effet, la belle africaine est à présent idéalement positionnée pour une fellation. Et Orcan ne s’embarrasse pas de préliminaires. Il enfonce férocement son membre viril dans la bouche de la jeune femme. Malheureusement, celle-ci a une réaction instinctive de défense et mord le sexe ainsi introduit sans son accord. L’intendant général lâche un grognement puis se retire en un éclair. Observant son membre ensanglanté, il promet alors à Imani un châtiment à la hauteur de son audace.
Isabella est exposée sur la place du marché de Chiraz, nue comme toujours depuis sa capture. Les instruments d’un supplice ont été installés par Haroun et une petite foule s’est réunie afin d’assister au spectacle. Parmi celle-ci, se trouve Milanka, camouflée sous une tunique rouge et un masque ouvragé, accompagnée de son maître. Les deux jeunes femmes sont parcourues par un frisson lorsque surgissent par une ruelle latérale Orcan et Imani, cette dernière nue et enchaînée, visiblement effrayée. Aussitôt, le maître sans pitié se lance devant l’assistance captivée dans un discours qui résume les fautes commises par son esclave. Et il annonce le début de son châtiment public.
Les vociférations de la foule encouragent les bourreaux à passer à l’action. La rébellion d’une esclave est alors considérée comme une terrible transgression et doit être rapidement châtiée afin de donner l’exemple. De plus, Orcan a largement exagéré l’insoumission d’Imani et certains spectateurs se réjouissent secrètement du caractère érotique du supplice. La belle africaine se fait d’abord entièrement raser la tête, au couteau. Après cette première humiliation, elle est attachée debout sur une planche de bois et cruellement fouettée. Le corps ensanglanté, elle reçoit même de vicieux coups sur son sexe brûlant.
La troisième étape du châtiment est l’empalement sur un poteau. Orcan et Haroun prennent bien soin lors de cette opération à enfoncer délicatement le pieu dans la vulve de la jeune femme afin de ne pas provoquer immédiatement sa mort. Cela n’en reste pas moins extrêmement douloureux. Imani se retrouve ainsi fixée en l’air, le corps meurtri, face à la foule qui l’insulte.
Une fois la nuit tombée et l’assistance dispersée, l’esclave punie est descendue du poteau. Elle est très affaiblie mais encore vivante. Haroun en profite pour faire la leçon à la blonde en cours de dressage et lui expliquer ce qui pourrait lui arriver en cas de désobéissance. Le lendemain, un groupe de quatre personnes se retrouve au crépuscule au sommet de l’établissement des bains. Milanka et Isabella, plus dociles que jamais, sucent leur maître et se font vigoureusement pénétrer.
Mais Marzban et Haroun n’ont pas emmené leurs esclaves sur le toit seulement pour prendre un agréable bain et répandre leur semence sur leur visage. Ils souhaitent également profiter de la dernière étape du supplice d’Imani, qui se déroule dans le désert aux portes de Chiraz. En effet, Orcan a décidé de livrer la jeune femme à ses chiens de guerre. Il lui laisse quelques minutes d’avance pour courir et ouvre la cage des molosses, habitués à tuer des êtres humains. Il ne leur faut que peu de temps pour rattraper Imani et la déchiqueter. Le cruel intendant est satisfait et abandonne le cadavre au désert. N’avait-il d’ailleurs pas prévu cette fin dès l’achat de son esclave ?
Isabella fait le désespoir du marchand d’esclaves car elle n’est toujours pas vendue. Elle n’intéresse pas les notables les plus exigeants car elle n’est plus vierge. En effet, elle a satisfait les besoins des nombreux pirates lors de sa capture et la traversée de la Méditerranée a été pour elle un calvaire. La rendant responsable de cette situation et mécontent de son comportement en général, Haroun l’a affublée d’un masque de fer et a joint ses bras au sein d’un implacable joug. Ainsi, lorsqu’un étrange et vieux guerrier manifeste son intérêt pour la jolie blonde, le marchand est aussi méfiant qu’enthousiaste. C’est pourtant lui qui achète la jeune femme et repart avec elle à travers les rues de Chiraz, la traînant par le cou.
Le nouveau maître d’Isabella se nomme Lerzan. C’est un ancien soldat de l’armée de Tamerlan aujourd’hui reconverti dans l’organisation de combats. C’est pour cette raison qu’il mène la jeune femme aux arènes situées dans les faubourgs de la cité. Enchaînée dans une étroite cellule, elle ne comprend pas ce qu’elle fait là mais aperçoit à travers les grilles deux formidables lutteurs à la peau noire. Considéré comme un spectacle vulgaire et contraire aux principes religieux, ce genre de combats n’en attire pas moins l’élite de Chiraz. Ainsi, sont présents dans le public, Marzban et son esclave Milanka, et surtout le prince timouride Kevser.
Aux côtés de Kevser, dans la loge d’honneur, Lerzan supervise le bon déroulement des combats et une belle esclave brune, nommée Soraya, reste à genoux, totalement soumise. La lutte est féroce entre les deux adversaires et c’est finalement le Mandingue Ousainou qui l’emporte. Après autorisation du prince, il projette le corps du vaincu en dehors de la scène du combat et celui-ci s’écrase dans un bain de sang. Vient alors la récompense pour le vainqueur de ce duel à mort. Elle a pour nom Isabella.
Attachée à genoux sur un cadre en bois, complètement immobilisée, Isabella a d’abord englouti dans sa bouche l’énorme sexe du Mandingue puis elle est prise par derrière pour le plus grand plaisir de la foule réunie dans l’arène. Ousainou, lui aussi, manifeste son contentement en éjaculant abondamment sur le visage de la jolie blonde. Après le spectacle, Lerzan s’apprête à quitter la ville avec ses deux esclaves, le guerrier noir en cage, la jeune femme enchaînée. Quant à Milanka, sa beauté n’a pas échappé au regard averti de Kevser et le prince a invité Marzban et son esclave à se rendre chez lui.
Dans le palais de Kevser, Milanka et Soraya se livrent à des danses et diverses débauches devant les yeux ravis du prince et de son nouvel ami marchand. Une fois nues, les deux jeunes femmes sont baisées sur de moelleux coussins par leurs maîtres respectifs. Ces derniers se promettent de reproduire sans tarder cette séance très agréable. Mais la splendide brune est troublée. Alors qu’elle a maintenant totalement envoûté Marzban, elle a souri aux regards torrides que lui a jetés le puissant timouride.
Un pénible voyage commence pour Isabella à travers les contrées désertiques situées aux pieds des monts Zagros. Cruellement entravée la journée, elle doit suivre le rythme du chariot de fer dans lequel Ousainou est enfermé. En partie libérée la nuit, elle doit toutefois répondre aux sollicitations de Lerzan. L’humiliation et l’exposition de la captive blonde ont également pour but d’exciter le guerrier mandingue sans que son maître autorise celui-ci à jouir des charmes de la jeune femme. Tournant en cage tel un fauve, Ousainou se consume de désir et voit sa rage augmenter.
Un soir, la petite troupe arrive à une charmante oasis au sein de laquelle plusieurs tentes ont été dressées. Mais pour Isabella, les motifs de réjouissance restent faibles. Le lieu est en effet occupé par des trafiquants d’esclaves. Son maître négocie ainsi avec un certain Behrdad la participation d’Ousainou à une série de combats. Quant à la jolie blonde, scrutée par les regards lubriques des autres trafiquants, elle se retrouve promptement en cage, aux côtés d’une autre esclave, belle brune d’origine arabe, Yaquine. Dès le lendemain, une rencontre entre les champions est organisée. Les deux captives sont attachées à moitié nues face à la scène de combat installée à proximité du plan d’eau. Elles connaissent maintenant leur rôle : attiser le désir des combattants, récompenser sexuellement le vainqueur.