Érotisme Fétichisme Hardcore Bondage SM
Léa est une jeune touriste française qui se retrouve prise au piège dans un pays du Moyen-Orient en crise. Elle raconte son calvaire.
Chapitre 1 : En prison
Chapitre 2 : La douche
Chapitre 3 : Jugée
Chapitre 4 : La punition
Chapitre 5 : Une autre détenue
Chapitre 6 : Des touristes insouciantes
Chapitre 7 : Une soirée prometteuse
Chapitre 8 : La dénonciation
Chapitre 9 : Une nouvelle punition
Chapitre 10 : Nues et en cage
Chapitre 11 : L'échange
Chapitre 12 : Les djihadistes
Chapitre 13 : La flagellation
Chapitre 14 : Les rituels du soir
Chapitre 15 : Les chiennes
Chapitre 16 : Tourments quotidiens
Chapitre 17 : Exhibitions
Chapitre 18 : Un riche vieillard
Chapitre 19 : La soumission est complète
Chapitre 20 : L'offrande
Chapitre 21 : Romance à Bagdad
Chapitre 22 : Une révélation fâcheuse
Chapitre 23 : Le quotidien de deux esclaves
Chapitre 24 : La maison close
Chapitre 25 : Le donjon
Chapitre 26 : Des invités surprises
Chapitre 27 : Un geôlier sadique
Chapitre 28 : L'enquête progresse
Chapitre 29 : Le retour de maître Ilyes
Chapitre 30 : Le désespoir de Léa
Chapitre 31 : Les suceuses
Chapitre 32 : Un appartement à Irbid
Chapitre 33 : Le monstre
Chapitre 34 : Des coups de feu dans la nuit
Chapitre 35 : Heureux dénouement
"Quelle nuit affreuse j’ai passée ! J’espère qu’on va bientôt m’expliquer ce que l’on me veut et que je pourrai sortir de cet endroit sans plus de complications. Et impossible de prévenir les parents en France !"
Une heure plus tard, Léa entend du bruit. Deux policiers s’approchent, ouvrent sa cellule et lui parlent en arabe d’une voix rude.
"Qu’est-ce qu’ils peuvent bien dire ? Je ne comprends rien à cette langue."
Léa essaie de répondre en anglais mais ses interlocuteurs répètent leurs mystérieuses instructions, semblant se moquer qu’elle comprenne ou non.
"Ils vont me violer, c’est sûr !"
Mais les deux policiers sont surtout intéressés par ses chaussures qu’ils lui demandent d’ôter. Ils la conduisent ensuite à travers les sombres couloirs de la prison.
"Ils m’emmènent aux douches ! C’est donc là qu’ils veulent me faire mon affaire !"
Deux femmes vêtues de noir de la tête au pied, le visage masqué, la prennent alors en charge, les policiers s’éclipsant avec respect. Léa est alors promptement déshabillée, menottée et attachée à un pommeau de douche.
"Qu’est-ce qu’elles baragouinent ? J’ai compris ! Elles vont me laver. Elles doivent considérer que je suis sale, impure ou je ne sais quoi. Elles insistent bien sur ma chatte, elles y prennent du plaisir les putes !"
Retournée, Léa se fait également frotter les fesses. Elle est ensuite habillée, dans le même genre de tunique que les deux femmes mais d’une couleur rouge éclatante.
Léa est jugée par un tribunal islamique. Les différents intervenants s’expriment tous en arabe et la jeune femme ne comprend rien aux débats.
"Ils m’ont mise en cage comme si j’étais un animal dangereux. Quelle absurdité ! Apparemment, ma tenue pose problème, elle ne leur plaît pas. Et ils font une fixation sur mes chaussures. C’est vrai qu’elles sont terribles ces plateformes bleues ! Ce prédicateur en robe verte a l’air particulièrement hargneux."
Après quinze minutes de discussions, Léa est sortie de la cage.
"Ça y est, il veut que je m’habille avec mon short, mon petit haut et mes plateformes. Il veut sans doute prouver aux juges que je suis une salope."
Ce sont les deux femmes de la douche qui, à l’abri derrière un paravent, s’occupent de cette délicate opération.
"Je dois quand même porter un masque, c’est grotesque !"
De retour devant les juges, Léa doit monter sur un tabouret. Le prédicateur en robe verte se déchaîne alors, il gesticule, vocifère, pointe la jeune femme du doigt d’un air menaçant.
"Qu’est-ce qui m’arrive ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? Et Sarah, où est-elle passée ? C’est elle qui a eu l’idée de venir dans ce pays ! Ils m’ont mis une muselière et je suis à quatre pattes comme une chienne. Voilà qu’il me montre un livre ! Ils osent s’appuyer sur la religion, c’est honteux !"
Le verdict des juges est unanime. Léa doit être punie, pénétrée, humiliée.
Léa est ramenée à sa cellule. Elle est encore terrifiée par ce qu’elle vient de subir.
"Maintenant, tout peut arriver. Après ce viol, ils peuvent me torturer, me tuer, je suis perdue."
Quelques heures plus tard, elle se rend compte que la cellule d’en face est occupée.
"Sarah ? Elle aussi, elle est là ?"
Elle crie : "Tu vas me le payer ? Si tu savais ce qu’ils m’ont fait ! Je suis dégoûtée ! Ce sont les vacances de l’enfer !"
"C’est Sarah qui a eu l’idée de venir passer des vacances en Jordanie. Elle avait envie de dépaysement et elle disait avoir obtenu un contact sur place par internet. Au départ, tout se passait pour le mieux. C’est vrai que le pays est magnifique et la culture très riche. Enfin, nous, on profitait surtout du soleil. On avait sûrement l’air de deux touristes un peu débiles, on se prenait en photo n’importe où et on ne s’occupait pas trop des habitants. Lorsqu’on a visité les environs d’Irbid, on nous a expliqué que l’Etat islamique régnait à quelques kilomètres de là, de l’autre côté de la frontière avec la Syrie. Ça nous a un peu glacé le sang. Puis, on a oublié. On avait un hôtel confortable et j’étais heureuse d’être avec Sarah."
"Il fallait bien que je me rende à l’évidence. J’étais attirée par Sarah et le plaisir que je prenais à ces vacances venait également du fait que nous étions en permanence toutes les deux. Je ne pense pas qu’elle ait perçu mes désirs. En tous cas, elle ne me manifestait aucun encouragement à aller en ce sens. A Irbid, nous devions rencontrer son contact, un certain Hicham. C’est là que tout a commencé à déraper. Arrivé chez lui, j’ai d’abord eu la désagréable surprise de constater qu’elle le connaissait bien mieux que ce qu’elle prétendait puisqu’elle s’est jetée dans ses bras. Et ils ont commencé à se peloter. Pire ! Il y avait un autre garçon, Salah, une mocheté absolue, qui s’est mis en tête de me draguer. Heureusement, on a rapidement quitté l’appartement et on s’est rendu chez des amis d’Hicham qui organisaient une soirée."
"Là-bas, j’ai retrouvé un peu mes esprits. Hicham et Salah ont joué aux cartes avec deux autres hommes. Le premier était un important négociant nommé Maarouf qui avait amené sa femme. L’autre était un curieux individu vêtu d’un costume des Milles et une Nuits, se faisant appeler Saladin. Avec Sarah, nous buvions des verres de vin, nous envirant sous le regard désapprobateur de Zaynab, la femme de Maarouf, voilée de la tête au pied dans une tunique rouge éclatante qui me servira plus tard également de parure. A la fin de la partie de cartes, Saladin est venue me draguer à son tour. Un peu ivre, j’avoue que je n’étais pas insensible à son charme viril. Je jetais un coup d’œil vers Salah. Il s’était endormi sur la table. C’est alors qu’un groupe d’individus dirigés par un religieux très énervé et tout de noir vêtu a fait irruption dans l’appartement. Je n’ai pas compris ce qu’ils nous reprochaient : le jeu, l’alcool ou autre. Mais, à mon plus grand effroi, tout le monde m’a accusé d’être l’instigatrice de cette débauche. Même Sarah, cette salope, elle a pointé le doigt vers moi. Je fus menottée et emmenée en prison. Et maintenant, voilà que je retrouve Sarah. J’espère que les choses vont enfin s’éclaircir."
Léa et Sarah sont sorties de leurs cellules et conduites dans une grande salle à la faible lumière. Toutes deux sont menottées et vêtues d’une longue tunique rouge. Elles ont seulement le loisir d’échanger un regard.
"C’est la salle qui mène aux douches mais ils ont ajouté d’étranges meubles. Quelle horreur ! Ce sont des instruments de torture !"
Léa est déshabillée puis attachée sur le dos, les jambes en l’air. Quant à sa camarade, ses fesses nues sont exposées à la flagellation.
"Cette voix d’homme ? Je la reconnais ! C’est l’ordure de prédicateur en robe verte. Cela ne présage rien de bon. Les cris de Sarah sont déchirants. J’entends également le claquement du fouet. La pauvre ! Ses fesses doivent être en sang."
Léa est parcourue par un frisson glacial lorsqu’elle sent un objet métallique se frotter contre son anus.
"Ça ne va pas recommencer ? Ils m’ont déjà punie ainsi !"
Mais, en effet, un large et long objet métallique est inséré dans son fondement. Un mouvement de va et vient la fait alors hurler.
Léa et Sarah sont ensuite changées de position, retournées sur le même appareil. C’est à présent Léa qui est fouettée et Sarah qui est pénétrée par un bâton à embout métallique.
"Enfin ! Cela s’arrête. Mes fesses sont brûlantes. Et entendre les plaintes de Sarah, c’est encore plus horrible."
Les deux jeunes femmes sont détachées et mises à genoux. On leur ordonne en mauvais anglais de garder les mains dans le dos et la tête baissée. Soumises, Léa et Sarah restent immobiles et silencieuses.
"Et ce sinistre oiseau noir, je le reconnais également. C’est le fou furieux qui a ordonné notre arrestation. Quelle est cette nouvelle infâmie ? Ils veulent nous enfermer dans des cages ? Jamais !"
Mais la révolte de la jeune femme tourne court, entourée de toutes parts. Comme sa compagne Sarah, elle n’a d’autre choix que d’entrer dans la minuscule cage. Elle est alors entièrement nue, recroquevillée et terrorisée. La punition de Léa ne fait que commencer.
"J’ai de plus en plus mal aux bras et aux jambes. Cela fait des heures que nous sommes enfermées dans ces cages. Où est-ce qu’ils peuvent bien nous emmener ? Ce voyage est particulièrement désagréable, la voiture ne cesse de sauter. Et Sarah, j’espère qu’elle est toujours à mes côtés !"
Lorsque le véhicule s’arrête enfin, Léa entend des échanges en arabe mais aussi une faible voix masculine qui s’exprime en anglais.
"Voilà qu’ils bougent nos cages. Vont-ils nous libérer contre une rançon ?"
Mais les espoirs de la jeune femme sont rapidement déçus. Les captives sont transférées dans une autre voiture et le voyage reprend jusqu’à une destination inconnue.
"Et maintenant, ils nous suspendent ! Quand vont-ils nous sortir de ces maudites cages ! Je n’en peux plus !"
Après une heure d’attente supplémentaire, le vœu de Léa est exaucé et elle est enfin libérée de son étroite cellule. Mais elle est toujours nue, bâillonnée, aveuglée et des bracelets de fer lui sont fixés aux poignets et aux chevilles.
Léa et Sarah sont menées jusqu’à une cour intérieure et elles découvrent alors leur nouvelle situation. Elles sont prisonnières de l’Etat islamique, en l’occurrence d’un groupe dirigé par un certain Abu Ali qui dissimule son visage sous un foulard vert. Une autre jeune femme est également retenue captive. Très belle, elle possède de longs cheveux noirs et parle arabe. Elle s’appelle Khadija.
"Enfin, ils nous enlèvent notre bandeau ! Sarah n’a pas l’air complètement abattue. Je dois garder espoir, moi aussi. Tant que je suis avec elle, je ne sombrerai pas !"
L’un des soldats de l’Etat islamique, tout vêtu de noir et le regard mauvais, les apostrophe alors dans un français impeccable : « A genoux, les salopes ! Vous allez sucer maître Abu Ali. C’est un grand honneur pour vous. »
"Quelle horreur ! Enfin, nous n’avons pas le choix. L’essentiel est de survivre. Et cette pauvre fille, elle doit s’enfoncer une énorme tige métallique dans le sexe ! Pour le plaisir de ces brutes !"
Abu Ali semble satisfait de la fellation octroyée par les deux jeunes femmes. Elles n’en sont pas moins attachées le cul en l’air sur la plate-forme circulaire qui tient lieu de scène pour leurs exhibitions.
Une nouvelle punition commence pour Léa et Sarah. Cette fois, il s’agit d’une flagellation.
"Ça brûle ! C’est horrible ! J’ai les fesses en feu ! Et les hurlements de mon amie sont effrayants !"
Les coups de fouet se succèdent, administrés par Abu Ali, sous les encouragements et les rires des sinistres soldats habillés de noir.
"Enfin, c’est fini ! Et nous voilà de retour dans nos cages ! Est-ce ainsi que notre existence va maintenant se dérouler ? Au moins, je peux parler avec Sarah. Quant à Khadija, elle ne comprend ni le français ni l’anglais, mais elle a l’air aussi malheureuse que nous."
Quelques jours plus tard, les deux Françaises sont exposées lors d’une audience accordée par le chef Abu Ali à la population sous son autorité. Nues, à genoux, enchaînées par le cou, sommées de garder les jambes écartées, elles sont censées représenter la victoire de l’islam sur l’Occident.
Les repas également sont une humiliation pour les deux jeunes femmes. Elles y assistent nues et au pied de leur maître Abu Ali qui décide seul quand elles ont le droit de manger. La plupart du temps, il exige un spectacle pour prix de la nourriture.
"Ce pervers me hurle encore dessus ! Pas le choix si je veux avaler quelque chose ! Il faut s’exhiber. Et se toucher ! Montrer son cul ! J’ai l’impression qu’il me traite plus durement que Sarah. Est-ce qu’il la préfère ? Ah ! Il lui ordonne de me rejoindre. Je vais pouvoir la caresser. C’est ma seule consolation dans cet univers de ténèbres. Et lui lécher ses parties sensibles, quel délice ! En revanche, la danse, c’est ridicule !"
Grâce à leur prestation érotique, Léa et Sarah ont mérité leur pitance du soir. Positionnées à quatre pattes, elles sont servies par Abu Ali lui-même, récompensées comme des chiennes fidèles. Les jeunes femmes mangent avidement. A la fin du repas, elles sont traînées par leur chaîne comme des animaux de compagnie et ramenées à leur cage pour y passer la nuit.
"Au moins, nous serons tranquilles, hors d’atteinte de ces bandits. Contrairement à cette pauvre Khadija qui va leur servir de divertissement ! Être les esclaves d’Abu Ali nous évite ce genre de désagrément. C’est un bien maigre soulagement. Combien de temps cette situation va-t-elle durer ? Qui va venir nous délivrer ? Quelqu’un pense-t-il seulement à nous ?"
Les jours se suivent et se ressemblent pour Léa et ses deux compagnes d’infortune. Elles sont gardées nues et enchaînées en permanence, objets sexuels de leurs ravisseurs.
"Et c’est reparti ! Nous voilà à nouveau exposées devant ces brutes !"
Ce matin-là, les jeunes femmes ont été guidées jusqu’à la cour intérieure par Haroun, le lieutenant d’Abu Ali, un individu tout aussi pervers que son chef. Chacune des prisonnières est installée sur un appareil de bois dans une position particulièrement humiliante, le cul en l’air, à genoux ou bras et jambes écartés. Tandis qu’Haroun se fait sucer par Sarah, Abu Ali enfonce dans l’anus de Léa un phallus de plastique terminé par une fourrure blanche.
"Les salauds ! Cela les amuse de nous tourmenter ainsi !"
Sarah ne tarde pas à recevoir également dans le fondement le gode à fourrure. Et les deux jeunes femmes restent toute la journée avec cet objet inséré dans leur corps. Lorsque la soirée débute, elles doivent amuser leur maître en se comportant comme des chiennes. Il leur faut montrer la patte, aboyer, adopter langoureusement la position de levrette.
"Et pour finir, ils nous fouettent. Aie ! Ça fait terriblement mal !"
Quelques jours plus tard, lors d’une audience, Léa reprend espoir.
"Je ne comprends pas ce que dit ce vieil homme mais il s’intéresse à Sarah et à moi, c’est sûr. Il n’arrête pas de nous regarder et de nous montrer du doigt. Il est bien habillé, il a des serviteurs. Voilà qui est peut-être bon signe."
Mais c’est à Khadija qu’Abu Ali fait signe de danser puis, finalement, de suivre le mystérieux et riche individu. Celui-ci a en effet donné une mallette remplie de billets en échange de l’orientale aux cheveux longs.
"Quel sera son destin ? Ce vieil homme est peut-être pire que nos bourreaux ? Pire que Daech ? Non ! Impossible !"
Khadija partie, Sarah et Léa sont ramenées à leur cage, tenues en laisse et à quatre pattes.
"De retour dans ces minuscules boîtes de métal ? Voilà qui n’augure rien de bon. Et Sarah n’a pas l’air en forme. Je sens qu’elle commence à craquer."
Les deux captives sont transportées de nuit jusqu’à un véhicule qui démarre en trombe. Le voyage dure une trentaine de minutes dans le désert.
"Quel est cet endroit sinistre ? Et tous ces hommes habillés de noir ? Ce sont les combattants de l’Etat islamique. Cette fois, c’est la fin !"
Mais Sarah et Léa ne sont pas destinées à être tuées. Du moins, pas ce soir. Ce soir, elles constituent la récompense offerte par Abu Ali à ses soldats. Ecartelées sur la pierre froide, les jeunes femmes découvrent avec effroi la multitude des hommes qui vont se satisfaire à leurs dépens.
Dans un hôpital de Bagdad, le capitaine Cooper du corps américain des Marines se remet progressivement de ses blessures. Il a encore des séquelles de sa longue captivité, notamment des brûlures au visage et sur les mains. Il a toutefois la chance d’être soigné par une infirmière compétente et attentive, Kimberley Allbright. L’intérêt qu’il porte à la charmante brune n’est d’ailleurs pas pour rien dans l’amélioration de son état de santé. Lors de leur premier rendez-vous, au bar de l’hôtel Babylon Rotana, l’attirance est mutuelle entre les deux jeunes gens et ils finissent la soirée dans l’appartement de Kimberley.
Le capitaine passe une nuit agréable dans les bras de la jolie infirmière qui s’avère une amante torride. Toutefois, il est encore tourmenté par des épisodes liés à sa captivité. En effet, passer quatre mois dans les geôles de l’Etat islamique peut altérer la santé mentale du plus solide des combattants. Tadeus Cooper fait part de ses préoccupations à Kimberley et celle-ci propose naturellement de l’aider. Ce qu’il aimerait par exemple comprendre, c’est comment il a été libéré. Une entrevue est ainsi organisée par la jeune femme avec un soldat qui a participé à l’opération de sauvetage du capitaine. Ce qui est alors dévoilé horrifie les deux apprentis enquêteurs. Tadeus Cooper a été échangé par l’armée américaine contre deux touristes françaises. Quel sort est à présent réservé à ces malheureuses ?
Pour Sarah et Léa, la situation ne change pas. Les punitions alternent avec les viols. Depuis la terrible épreuve nocturne du désert, Abu Ali et Haroun sont les seuls qui ont le droit de toucher les jeunes femmes. Mais ils s’en donnent à cœur joie. Le chef du groupe terroriste apprécie particulièrement les fellations délivrées par la blonde soumise. Quant à son lieutenant, il aime attacher l’esclave brune sur de vicieux appareils et la flageller alors qu’elle se trouve sans défense.
"Voilà que l’on nous trimballe encore ! Je me demande combien de temps nous sommes restées dans ce maudit riad. Et que va-t-il nous arriver à présent ? Abu Ali a fait le signe de l’argent après le coup de téléphone. Nous allons donc être vendues. J’espère juste que notre nouveau maître sera moins cruel. Enfin, on nous sort de nos cages !"
Après avoir descendu les froides marches d’un escalier de pierre, Léa et Sarah, le bandeau toujours sur les yeux, arrivent dans une pièce agréablement chauffée et au sol dallé. Haroun, qui a dirigé le voyage, les présente en arabe. Aussitôt, des mains se glissent sur leur chatte, des doigts indiscrets les pénètrent et une voix vulgaire et inconnue les traite de « pute française » et de « belle salope ».
"Ainsi, c’est notre nouvelle demeure. C’est un souterrain glauque mais c’est déjà mieux que les cages du riad. En revanche, notre gardien a un air vraiment lubrique, il ne va certainement pas tarder à nous sauter dessus. Je crains le pire avec lui. Et, en plus, nous sommes enchaînées par le cou."
Mais leur nouveau maître, qui se nomme Rayan, arrête prestement les initiatives de leur gardien, un certain Kamel. Celui-ci, qui s’était mis tout nu et avait commencé à s’astiquer doit se rhabiller. Quant à Rayan, il révèle le sourire aux lèvres qu’il n’est autre que le frère d’Hicham. Léa et Sarah se regardent médusées, constatant en effet une ressemblance et comprenant le piège dans lequel elles sont tombées.
Le soir-même, les deux jeunes femmes doivent choisir des vêtements sexy puis sont remontées à l’étage où elles doivent danser pour les clients. Ou plutôt, un client. Il s’agit du riche individu qui avait acheté Khadija au riad. Après le spectacle, Léa et Sarah sont menées à une salle aux murs bleus qui s’apparente à un donjon. Chacune d’entre elles est attachée sur un appareil dans une position inconfortable. L’homme qui exige de se faire appeler maître Ilyes passe de l’une à l’autre.
"Je vais encore passer à la casserole. Et avec ce vieux pervers ! Ah, sa bite est énorme !"
Et maître Ilyes la laboure consciencieusement.
"C’est le tour de Sarah. Tant mieux ! Je n’en peux plus. La salope minaude afin de s’attirer ses faveurs. Voilà qu’elle crie parce qu’elle la prend dans le cul ! Elle l’a bien cherché."
Les deux Françaises sont à présent les pensionnaires de la maison close souterraine. D’ailleurs, il n’y a pas d’autres filles qu’elles. Elles passent leurs journées attachées au sous-sol et leurs soirées à s’exhiber devant quelques clients triés sur le volet. Quelle n’est pas leur surprise lorsqu’elles découvrent parmi ces derniers certains des participants à la fête qui a provoqué leur déchéance ! Il s’agit de Saladin, avec qui Léa avait flirté, vêtu de son costume oriental traditionnel. Et d’Hicham, le soi-disant copain de Sarah, qui s’avère le frère du propriétaire des lieux. Il est vrai que les deux hommes se ressemblent et s’habillent de manière similaire. En tout cas, Saladin et Hicham n’ont pas été punis. Ils sont libres et se voient même offrir les services des deux jolies esclaves. A genoux, la blonde et la brune doivent ainsi les sucer avant de se remettre à danser.
En journée, les deux jeunes femmes sont tourmentées au sous-sol par Kamel, leur gardien qui ne parle pas leur langue et se fait comprendre par des gestes et des cris.
"On dirait de plus en plus que Sarah aime ça. Voilà qu’elle doit s’enfiler une tige en métal dans la chatte et elle sourit et pousse des glapissements de plaisir. Soit elle devient une pure salope, soit elle joue vraiment bien la comédie pour les endormir. Moi, je n’en suis pas capable. En plus, ce débile me réserve toujours les sévices les plus tordus."
En effet, suspendue au plafond par des chaînes, bras et jambes écartés, Léa voit son geôlier s’approcher d’elle une pique à la main, dont il promène la pointe sur ses pieds, ses cuisses, se seins, et bien sûr son sexe.
A Bagdad, une rencontre discrète se déroule à l’hôtel Babylon Rotana entre Tadeus Cooper, Kimberley Allbright et Saladin Kakhoda. Ce dernier a des révélations à fournir au jeune couple sur le sort des deux touristes occidentales qui ont servi de monnaie d’échange contre la libération du capitaine. Une fois rentrés à l’appartement de l’infirmière, les deux amants fêtent l’avancée de leur enquête avec des ébats passionnés.
A la maison close, Ilyes Hussein est revenu et se fait servir à boire par Léa, à genoux à ses pieds. Il parle anglais et lui apprend qu’il espère l’acheter.
"Quelle horreur ! Si j’étais séparée de Sarah, ce serait encore pire."
La jolie blonde a été remarquée par un nouveau client, apparemment aussi très riche et au teint cadavérique. Son nom est Aymen Tortosa. Celui-ci se voit ainsi octroyé le privilège de descendre au donjon avec maître Ilyes et les esclaves.
"Ils ont installé de nouveaux appareils. Et je vais encore devoir subir les assauts de cette brute et de son énorme bite."
Après quelques préliminaires, la pénétration commence. Aymen est comme un fou sur Sarah, écartelée sur un tabouret de bois. Quant à Léa, les jambes suspendues, elle se fait rudement baiser par maître Ilyes.
"Ahhh ! Il me la met dans le cul, le salaud !"
Pour finir, les deux hommes répandent leur abondante semence sur les jeunes femmes. Ils sont visiblement repus.
"Putain ! il m’a déchirée et salie. Comment Sarah fait-elle pour supporter tout cela avec cette tranquillité ?"
Tranquillement installés dans leur repaire qui sert de bordel clandestin, les deux frères Rayan et Hicham Kazem sont régalés d’une fellation par leurs belles esclaves, nues et à genoux.
" Ils font exprès de se retenir, les fourbes ! Cela fait presque une heure qu’on les suce. "
Après que les deux hommes ont éjaculé, Haroun, le lieutenant des djihadistes, fait son retour. Malgré l’obstacle de la langue, Léa écoute la conversation et comprend qu’elles vont à nouveau être vendues. D’ailleurs, elles sont redescendues au sous-sol où elles doivent choisir des tenues légères et sensuelles. Avec ses mules à plateforme décorées de fourrure et sa courte robe à motifs floraux, la timide brune est ravissante.
Un nouveau voyage en voiture est ensuite organisé. Heureusement, cette fois, elles ne sont pas transportées en cage. Cependant, un bandeau est placé sur leurs yeux, un bâillon enfoncé dans leur bouche et leurs mains sont attachées dans le dos.
"Il fait froid, c’est donc la nuit. Et c’est Haroun qui prend les choses en main. Celui-là, je le déteste !"
Leur véhicule s’arrête soudain au milieu du désert et un transfert se produit.
"Cette voiture est plus confortable et c’est Hicham qui conduit. Qu’est-ce que cela présage ?"
A l’aube, les quatre passagers arrivent à destination. Instinctivement, Léa sait qu’ils sont de retour à Irbid, la ville où leur calvaire a commencé. Les jeunes femmes marchent quelques minutes jusqu’à un appartement dans lequel on enlève enfin leur bandeau.
"Quelle étrange décoration ! C’est très moderne ! Et qui voilà ! Maître Ilyes et son esclave Khadija."
Mais Léa n’est pas au bout de ses surprises. En effet, surgit de nulle part son hideux prétendant de la fatale soirée, le maigre et difforme Salah. Le comble, c’est qu’il n’est autre que le fils d’Ilyes Hussein.
"Il y a également Saladin, ce traître, avec une de ses putes. Qu’est-ce qu’elle a me regarder celle-là, cachée sous son masque et sa tunique rouge ?"
Quant au prix des jeunes femmes, il s’agit d’un antique livre religieux que récupère Haroun.
Léa et Sarah sont promptement déshabillées et attachées dans des positions humiliantes, la blonde debout les bras et les jambes fixés à un cadre métallique, la brune à quatre pattes prête à recevoir. En tout cas, ce n’est pas Salah qui aura le privilège de pénétrer la jolie brune car ce dernier se fait violemment rabrouer par son père.
"Qu’est-ce que c’est que ces grognements ? Il y a un monstre dans la pièce ? Et ces mains qui m’agrippent ? Elles sont rudes et énormes."
Mais rien ne pouvait préparer Léa au choc qu’elle subit lorsqu’elle est pénétrée, à sec, directement dans l’anus. D’ailleurs, toutes les personnes présentes da ns la pièce sont tétanisées, certaines horrifiées, d’autres fascinées. Un grand silence se fait alors, uniquement ponctué des cris de la jeune femme et des râles de son violeur. C’est le moment que choisit la mystérieuse brune venue avec Saladin pour s’éclipser.
La jeune femme vêtue de rouge flamboyant n’est autre que Kimberley Allbright, la courageuse infirmière. A l’extérieur de l’immeuble, elle retrouve le capitaine Cooper. Encore toute émue par le spectacle auquel elle a assisté, elle change de tenue et prend une arme. Les deux amants retournent alors sur les lieux du crime, très déterminés. Haroun est le premier à en faire les frais. Il est pourtant un combattant aguerri mais il n’avait pas prévu que Kimberley sache manier aussi adroitement et rapidement son pistolet. Puis, ils font irruption dans la salle principale et tuent également Ilyes Hussein et Hicham Kazem.
Salah et celui-ci qui est visiblement son monstrueux frère se rendent. Ils apparaissent bien piteux tous les deux, nus et ne comprenant pas ce qui leur arrive. Après tous ces coups de feu, la petite troupe ne traine pas et tout le monde, Khadija comprise, s’enfuit à travers les rues d’Irbid.
"Voilà, notre calvaire est terminé. Je vais revenir en France et revoir ma famille et mes amis. Que pourrais-je leur raconter ? Et serais-je capable d’oublier ? Enfin, pour l’instant, profitons de ces précieux instants avec mes amies. J’aimerais bien rester en contact avec Khadija et Kimberley. Elles sont carrément mignonnes. Quant à Sarah, elle s’est révélée sous son vrai jour et cela ne m’a pas plu. En plus, elle n’en a rien à faire de moi. Bon, il faut que je pense à autre chose. Une nouvelle vie doit commencer pour moi."