Érotisme Fétichisme Hardcore Bondage SM
Les États-Unis, dans les années 2020, sont dirigés par un président ultraconservateur qui fait voter des lois racistes et sexistes. L’étudiante Jade Monti va en faire l’amère expérience.
Chapitre 1 : Rentrée universitaire
Chapitre 2 : Après les cours
Chapitre 3 : Les plateformes
Chapitre 4 : Le club
Chapitre 5 : Le collier
Chapitre 6 : Un changement de condition
Chapitre 7 : Que de sollicitations !
Chapitre 8 : Aux toilettes
Chapitre 9 : La fellation
Chapitre 10 : Abattue
Chapitre 11 : Le strip-tease
Chapitre 12 : C'est une femme libérée
Chapitre 13 : Lesbos
Chapitre 14 : Harcelée
Chapitre 15 : Les filles honteuses
Chapitre 16 : Dégradation publique
Chapitre 17 : L'hiver
Chapitre 18 : Baisées et humiliées
Chapitre 19 : Jade sert de caution
Chapitre 20 : Gagnée au poker
Chapitre 21 : Une soirée dans la cabane
Chapitre 22 : Collier, bâillon et pieds nus
Chapitre 23 : Un spectacle à la bibliothèque
Chapitre 24 : Une enquête pour disparition
Chapitre 25 : Abusées dans la salle de sciences
Chapitre 26 : Le cadavre oublié
Chapitre 27 : Jade est internée
Chapitre 28 : Jeunes déviantes
Chapitre 29 : Les oranges et les vertes
Chapitre 30 : Isabella la rouge
Chapitre 31 : La putain est fouettée
Chapitre 32 : La vie au pénitencier Jackson
Chapitre 33 : L'inspection
Chapitre 34 : Le donjon souterrain
Chapitre 35 : Jade et Justine sur de vicieux appareils
Chapitre 36 : Tentative d'évasion
Chapitre 37 : Veillée funèbre
Chapitre 38 : Le châtiment des criminelles
Chapitre 39 : Malgré tout, la vie continue
Jade Monti est une jolie étudiante américaine. D‘origine italienne, elle vit dans une métropole du Midwest. C’est une jeune femme aux mœurs libres mais, sous la pression de ses parents, soucieux de son avenir, elle a intégré une prestigieuse université privée réservée aux personnes blanches et de bonne famille. Ce retour de la ségrégation aux Etats-Unis a été rendue possible par l’élection d’un président ultra-conservateur. Jade a passé un été assez morose et est avide de nouvelles rencontres, surtout masculines. Ainsi, elle s’est teint les cheveux en blond et se balade court vêtue. A l’université, Jade s’est rapidement fait des amies : Rebecca, la jolie rousse un peu coincée ; Angeline, la brune populaire et élégante ; Clarence, le petit ami de cette dernière, raffiné mais un brin pervers et originaire de New York. Mais c’est sur son professeur de géographie, monsieur Turner qu’elle fantasme.
Jade et ses copines vont faire les magasins. La jolie blonde essaie différents escarpins et s’offre finalement des plateformes à fourrure rose qui provoquent la désapprobation d’Angeline mais les regards enamourés de Rebecca. Jade s’entend moyennement avec ses parents. Ceux-ci ne cessent de lui faire des reproches sur son manque de motivation, ses tenues trop sexy, son mutisme lors des dîners…
Jade est tout excitée à l’idée de parader avec ses nouvelles chaussures. Le lendemain, le cours de la professeure d’anglais, madame Hughsbury, est assez ennuyeux, du moins pour Jade, car ses camarades au contraire pressent l’enseignante de questions à la fin de l’heure. De plus, elle est harcelée par Stephen et William, deux abrutis qu’elle déteste et qui la draguent de manière lourde.
Le week-end, Jade sort en club avec Angeline et Clarence. Ceux-ci ne se quittent pas de la soirée et elle est à nouveau sollicitée de manière inopportune. Toutefois, Jade a repéré un garçon qui lui plaît. C’est Tadeus, le serveur du bar, qui se trouvait dans le même lycée qu’elle l’année dernière. Cette fois, c’est elle qui le drague malgré la stupéfaction d’Angeline. En effet, il est noir et les nouvelles lois prohibent de telles relations. Mais Jade a terriblement envie d’une étreinte masculine. Elle attend la fermeture du club puis prend toutes les initiatives. Et son amant du soir la satisfait.
Les jours suivants, Jade ne cesse de penser au sexe de Tadeus la pénétrant. Elle se montre on ne peut plus distante avec ses parents. En classe, elle bavarde, notamment pendant le cours de sciences de monsieur Bradford qui a la réputation d’être très sévère. Celui-ci l’envoie finalement chez le directeur, monsieur Stringle. Elle s’en fiche sur le coup car elle se méprend sur les raisons de la convocation. Dans le couloir, elle croise cette larve de Mel, toujours dissimulé sous sa capuche. Dans le bureau du directeur, son destin bascule. Celui-ci lui assène, devant ses parents et preuve à l'appui, que l’université ne peut accepter les jeunes femmes qui couchent avec des Noirs. Ou alors, elles doivent être signalées aux autres étudiants. Elle se retrouve ainsi avec un collier de cuir indiquant son nouveau statut de « salope ».
Jade doit maintenant s’habituer à sa nouvelle vie, celle de salope de l’université. Ses parents la soutiennent mais lui demandent de prendre sur elle les humiliations afin de rester scolarisée au sein du prestigieux établissement. Cependant, le quotidien devient compliqué. Si Jade peut compter sur la sympathie de Rebecca, en revanche, elle doit faire face plus que jamais au harcèlement de certains garçons, Stephen, William et Mel notamment. Un nouvel individu est également entré dans sa vie, Brian, sportif émérite et brute épaisse. Il déclare clairement à Jade qu’il va la sauter. Quant à Angeline et Clarence, leur attitude est ambigüe.
A la fin du cours de géographie, Angeline et Clarence annoncent à Jade qu’elle doit venir samedi soir au club afin que certaines choses soient clarifiées. La jeune femme refuse nettement. Devant l’université, Jade a la surprise de découvrir Tadeus qui l’attend, assis sur un muret. Elle ne peut réprimer sa colère contre lui car il est hors de question que leur relation ait une suite, compte tenu des conséquences dramatiques pour elle. Pour compliquer le tout, c’est Rebecca qui lui fait à son tour des avances. Mais Jade ne compte pas ajouter à son cas l’accusation de lesbianisme. Il faudra que la jolie rousse se trouve une autre copine.
Pendant le cours de sciences, le directeur, monsieur Stringle, vient expliquer le nouveau statut de Jade Monti. Il affirme qu’aucune plainte de sa part ne sera écoutée et suggère à demi-mot qu’elle peut être malmenée. Cela commence d’ailleurs dès la fin du cours de monsieur Bradford.
Pendant que Rebbeca est hypnotisée par la mystérieuse Rosalyn, Jade est traînée dans les toilettes. Nue, à genoux, elle est insultée et humiliée. Clarence la traite de pute à noir. Les garçons lui expliquent que si elle souhaite être tranquille, il faut qu’elle les suce, à commencer par Brian. Et quelle accepte de venir à leur soirée un peu spéciale, au club.
Comment garder espoir après cette humiliation ? Jade est heureusement consolée par sa mère. Elle trouve également du réconfort auprès de madame Hughsbury, l’enseignante d’anglais. Certaines de ses camarades la soutiennent discrètement, notamment Rebecca, qui ne lui tient pas rigueur de son récent rejet. Mais aussi, deux étudiantes sérieuses qu’elle trouvait auparavant coincées, Thelma et Abigail.
C’est samedi soir. Jade est emmenée au club par Brian. Elle n’a pas eu d’autre choix que de se soumettre à lui. Dans le club, elle regarde muette ses anciens amis danser sur la musique électro avant qu’on lui demande d’assurer le spectacle. Son strip-tease électrise l’assistance. Elle est plus belle et sensuelle que jamais. Mais Tadeus, qui a assisté à toute la scène depuis son bar, n’en peut plus et vient à son secours. Malheureusement, il est promptement stoppé par Brian et roué de coups par les autres voyous. Pendant ce temps, Jade est félicitée et comparée à une chienne en chaleur. Elle est emmenée hors du club. Mais quel sort l’affreuse bande a-t-elle réservé à Tadeus ?
A l’université, Jade est constamment harcelée, en particulier par Brian, la brute épaisse. Quant à Angeline et Clarence, ses anciens amis, ils sont à présent complices de ses bourreaux. Mais la jeune femme a décidé de ne pas se laisser pas faire et elle réplique aux insultes aussi bien qu’aux tentatives d’intimidation. C’est ainsi qu’elle se bagarre comme une chiffonnière avec Angeline dans les toilettes des filles. Leur lutte est cependant arrêtée par une révélation inattendue : Rebecca est surprise en compagnie d’une autre étudiante, la ravissante Elektra. D’ailleurs, quelques jours plus tard, celle-ci fait une apparition remarquée dans la bibliothèque pendant le cours de lettres de Madame Hughsbury.
Elektra est tout aussi libérée que Jade, voire plus. Ses tenues et ses attitudes sont toujours sensuelles, voire vulgaires. De plus, elle n’hésite pas à exprimer son attirance envers les femmes et se moque des leçons de morale. Mais, avec les bouleversements politiques, ce comportement audacieux peut devenir l’objet d’une répression. Elektra et Rebecca quittent subitement le cours toutes les deux et Jade, intriguée, les suit. Les deux coquines se rendent dans un magasin de vêtements et vont se blottir dans une cabine d’essayage. Là, elles se livrent à des étreintes passionnées, ne cherchant pas à se dissimuler. Jade se révèle à la fois gênée et excitée.
Le soir-même, Jade reçoit une surprenante visite. Deux hommes qu’elle ne connaît pas se présentent à son domicile et l’invitent à une soirée en faisant des allusions pas très fines devant ses parents. La jeune femme tombe des nues. Qui sont ces individus ? Des amis de Tadeus, dont elle n’a d’ailleurs plus de nouvelles ? Quand ceux-ci expliquent qu’ils sont en relation avec Brian et Clarence, Jade comprend enfin, s’énerve et les met dehors. Ce n’est qu’une forme de plus du harcèlement qu’elle subit. Sa situation est véritablement intenable. Pourtant, elle peut encore empirer. En effet, le lendemain, Jade est à nouveau convoquée dans le bureau du directeur, cette fois en compagnie de Rebecca et Elektra. Monsieur Stringle affirme qu’elles sont les hontes de l’université et qu’une punition publique doit être organisée. Les deux lesbiennes gagnent chacune leur collier de cuir lors de cet entretien. En classe, moquée par Angeline, Jade explose et il faut que monsieur Turner intervienne pour la calmer. En revanche, elle est maintenant totalement réconciliée avec Rebecca. Une seule question agite les étudiantes fautives : quel châtiment va leur être réservé ?
Le jour de la punition est arrivé. Comme annoncé par monsieur Stringle, celle-ci a lieu en public et en plein air, sur le parvis de l’université. Une estrade avec un panneau marquant leur situation de « filles honteuses » a été dressée. De nombreux professeurs et étudiants sont présents. Les parents des trois punies ont également été convoqués. Le châtiment consiste en une exposition publique. Les jeunes femmes doivent se déshabiller et s’agenouiller, jambes écartées. Le directeur prononce alors un discours sévère et insiste sur la nécessité de corriger les femmes aux mœurs dégénérées. Les insultes pleuvent sur les trois filles offertes : « salope, pute, chienne, traînée… »
Les trois punies doivent adopter diverses positions, toutes plus humiliantes les unes que les autres. Leur anatomie intime est dévoilée à leur grand désarroi. Seule Elektra semble relativement indifférente à cette cérémonie dégradante. Quant au public, Jade n’est pas surprise de constater la joie noire de ses camarades, notamment masculins, mais elle découvre aussi avec un certain dégoût une lubricité sans retenue dans les yeux de ses professeurs. Elle n’éprouvera à présent plus que mépris pour eux, même monsieur Turner. Enfin, l’épreuve touche à sa fin et les jeunes femmes se dépêchent de se rhabiller et de quitter les lieux, entourées de leurs parents au regard défait.
L’hiver est arrivé tôt cette année. Pour Jade, Rebecca et Elektra, c’est une aubaine. Cela leur permet d’être un peu plus habillées et de mieux résister à leurs tourmenteurs. Les humiliations subies ont soudé les trois jeunes femmes qui ont développé une franche amitié. En revanche, un fossé s’est creusé avec les autres élèves féminines, notamment Angeline et Rosalyn. Celles-ci se comportent maintenant comme des agents supplétifs des garçons agresseurs. Une après-midi, elles stoppent les trois malheureuses dans le grand hall de l’université et les dirigent vers les toilettes des hommes. Jade a bien compris ce qui les attend et c’est sans surprise qu’elle aperçoit la sinistre bande. Clarence et Brian les menottent et leur intiment l’ordre de se mettre à genoux. Un autre pervers est présent, Raymond, un membre de la sécurité, toujours vêtu d’un blouson en cuir, assez inquiétant avec son regard fixe et son crâne chauve.
Les trois salopes, ainsi que les appellent Brian, se mettent à sucer, à genoux, la poitrine dénudée, les mains attachées dans le dos, coincées dans les toilettes. Elle se font copieusement insulter et reçoivent des claques lorsque leur bouche n’est pas jugée assez douce. Puis, elles se font retourner et elles sont prise à même le sol, en levrette ou sur le dos. Tandis que Raymond besogne Rebecca, Clarence baise Jade et Brian s’occupe ardemment d’Elektra, Stephen et William, encore une fois, sont réduits au rôle de spectateur. Après la saillie, les trois filles sont laissées sur le carrelage glacé, nues, seulement vêtues de leurs bottes fourrées. Il est aisé de comprendre que, dans ces conditions, étudier s’avère difficile. Le cours de sciences de monsieur Stringer, par exemple, est un calvaire pour Jade et Rebecca. Régulièrement appelées au tableau pour résoudre des exercices, elles se révèlent muettes et se font punir.
Un soir, alors que la famille Monti regarde un film de guerre à la télévision, un coup de sonnette retentit dans la maison. Et, surprise, c’est Clarence, plein d’arrogance, qui vient solliciter Jade pour une mystérieuse soirée au club. Celle-ci, résignée, accepte l’invitation et assure ses parents qu’ils ne doivent pas s’inquiéter. Sur le trajet, l’élégant mais vicieux jeune homme explique à Jade qu’elle ne sera ni violentée ni humiliée et qu’elle doit juste servir de garantie. Arrivés sur place, la jeune femme doit affronter le sourire méprisant de son ancienne amie Angeline, la peste, et les propos graveleux de Brian, toujours dégoûtant. Les deux garçons emmènent Jade à l’étage jusqu’à une petite pièce dissimulée par une tenture avec des losanges rouges. A l’intérieur, elle découvre avec effroi les deux voyous qui sont venus l’importuner chez elle il y quelques semaines, pensant qu’elle couchait avec tous les Noirs du coin. Idris est volubile et porte une chemise avec des flammes bleues ouverte sur le torse. Pharell est plus ténébreux et vêtu comme un skater. Malgré elle, Jade ne peut s’empêcher d’admirer leur beauté.
Une partie de poker commence entre les quatre hommes. Une partie dont l’enjeu est une importante somme d’argent que Pharell et Idris ont apporté dans un cartable. Afin de s’aligner sur eux, Brian et Clarence ont amené une salope. C’est ce que Jade comprend lorsque l’ordre lui est donné de s’agenouiller à côté de la table et d’attendre la fin de la partie en se taisant. Mais le jeu ne se déroule pas comme prévu pour les deux prétentieux et, rapidement, Brian et Clarence se font plumer. Ainsi, Pharell et Idris peuvent encaisser leur gain, à savoir la jolie blonde qui se prénomme Jade. Celle-ci se laisse emmener par les deux hommes sous les regards médusés des danseurs du club. Ils traversent une partie de la ville, froide et déserte. Leur destination se trouve dans les faubourgs, un quartier dans lequel Jade n’aurait jamais osé mettre les pieds toute seule. Une fois entrée dans une cabane à l’aspect misérable, elle pousse un cri d’effroi. C’est une maison de torture ! Une pauvre jeune femme est enfermée nue dans une cage ! Mais les deux sbires ne laissent pas le temps à Jade de réagir. Ils l’attrapent, la déshabillent et l’attachent à un appareil étrange. Puis, ils commencent à la baiser.
Jade est pénétrée dans toutes les positions, par devant, par derrière, les jambes en l’air. A Idris, succède Pharell. Tous les deux possèdent des sexes monstrueusement gros. Après avoir été bien ouverte, c’est le pseudo-skater qui prend l’initiative de la terminer par une sodomie brutale. Tous ses sens se brouillent alors. Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle est toujours attachée à l’appareil de bois, les jambes en l’air bien écartées, le visage recouvert de sperme. Après en avoir fini avec elle, Idris et Pharell ne la libèrent pas mais l’attachent sur un lit en fer. Elle a beau protester et les insulter, cela ne les affecte pas le moins du monde. Ils quittent même la cabane, la laissant seule avec la pauvre fille noire dans sa cage. Après plusieurs heures de captivité, ils reviennent enfin, avec Clarence et Brian, et Jade est libérée. Furieuse, elle se répand en vulgarités contre Clarence. Mais, une fois de plus, elle a été soumise et vaincue.
La fin de l’hiver approche et les études à l’université se poursuivent pour Jade. Le monde entier semble dressé contre elle. Même monsieur Turner est devenu dur et cassant. En classe, il oblige les filles à collier, comme il les appelle, à se déchausser et à porter un bâillon, soi-disant pour qu’elles cessent leurs bavardages. La vérité est que c’est pour les humilier encore un peu plus. Rebecca, en revanche, n’a pas renoncé à conquérir son amour. Au moins, Jade peut compter sur elle, même si ses démarches sont souvent gênantes, comme quand elle lui caresse les pieds sous la table. Un après-midi, le directeur interrompt le cours et invite tous les élèves à le suivre dans la bibliothèque. Il affiche son habituel air sévère. Cela ne présage rien de bon pour les deux filles à collier, la lesbienne et la salope.
Arrivés dans la bibliothèque, les élèves découvrent, certains avec effroi, d’autres avec envie, la pauvre Elektra attachée nue à un poteau métallique. Les insultes et les moqueries fusent à propos de la jeune femme. Monsieur Stringle explique que la précédente punition publique n’a pas suffi, que celle qui est accusée de lesbianisme continue ses provocations et qu’elle doit donc subir une nouvelle humiliation. Cette fois, c’est madame Hughsbury, visiblement ravie, qui est chargée d’administrer le châtiment. Et c’est en effet consciencieusement qu’elle flagelle les fesses de la jolie brune, qui pousse des petits cris de douleur qui électrisent la foule des étudiants présents dans la bibliothèque. Pendant dans ce temps, Jade, rendue muette par son bâillon de plastique, subit les ricanements et les attouchements de son professeur de géographie. Et dire qu’elle fantasmait sur lui !
Après l’épreuve infligée à Elektra, le directeur sermonne les trois filles à collier. Il exige que leurs déviances cessent. Il ne veut pas non plus discuter de leurs problèmes ni de leurs états d’âme. Leur seule voie consiste en un comportement discret et obéissant. Une fois de plus, Jade rentre morose à la maison. Par ailleurs, une surprenante visite vient troubler la soirée. Il s’agit de l’inspecteur de police Tony Marvel qui dit enquêter sur la disparition de Tadeus. La ravissante blonde est ennuyée et n’entre pas dans le détail de ses relations avec le jeune homme. Mais elle révèle qu’il s’est fait tabasser par Brian et ses acolytes. Elle n’a plus entendu parler de lui depuis cette nuit, il y a de cela plusieurs mois. Lors du départ de l’inspecteur, dont elle apprécie d’ailleurs le charme viril, Jade entrevoit enfin une amélioration de sa situation. En cours de sciences, Stephen et William, qui n’ont pas encore eu le privilège de la « sauter » reviennent à la charge, coinçant également Rebecca. Mais, heureusement, monsieur Bradford intervient pour les chasser. Le sort tournerait-il vraiment en sa faveur ?
Les espoirs de Jade sont de courte durée. Si son professeur de sciences s’est débarrassé des deux gêneurs, c’est parce qu’il veut la « salope blonde » pour lui, comme il le proclame avec vulgarité. Au même moment, le brutal Raymond, qui affectionne particulièrement Rebecca, fait irruption dans la salle de classe. Les jeunes femmes sont bloquées et vont devoir se soumettre aux désirs des deux prédateurs. Ils exigent des fellations, longues et profondes, puis éjaculent sur le visage de leurs amantes à genoux.
Quelques jours plus tard, Jade se rend au commissariat, convoquée par Tony Marvel. Elle y fait la connaissance d‘un sympathique officier de police du nom de Nathan Light qui l’accompagne jusqu’au bureau de l’inspecteur. Elle y découvre, mi-apeurée, mi-réjouie, Brian menotté et soumis à un interrogatoire. Celui-ci, furieux, se répand en menaces et imprécations contre la jeune femme. Jade se ressaisit peu à peu et est ensuite emmenée jusqu’au bloc médical par Marvel qui lui révèle le corps putréfié de Tadeus. Horrifiée, la jolie blonde est, de plus, accusée de complicité par l’inspecteur. C’est pourquoi elle est finalement conduite jusqu’aux cellules où elle retrouve, à son plus grand déplaisir, les autres responsables du drame, à savoir Mel, Stephen et William, eux aussi emprisonnés et vociférant. Une fois de plus, son avenir s’assombrit.
Le lendemain de cette fatale journée, le sort de Jade est scellé. Convoqués au commissariat par l’inspecteur Marvel, ses parents signent un document qui envoie la fautive dans un établissement pénitentiaire spécialisé dans le redressement des jeunes femmes déviantes. Pour un temps indéterminé, de plus. Seul l’officier Light perçoit la tromperie et tente d’avertir la famille mais il est promptement rabroué par son supérieur et évacué de la salle. Jade est ensuite transférée dans son nouveau lieu de détention.
Les adieux avec sa mère sont empreints d’émotion et la jeune femme a le pressentiment qu’elle ne la reverra pas de sitôt. Au centre pénitentiaire Jackson, Jade est accueillie par deux femmes on ne peut plus différentes. L’une, Laura Devos, est policière et possède un visage aussi ingrat que son caractère est fruste. L’autre, madame Tierney, est la directrice et elle affiche une tenue excentrique qui convient parfaitement à ses manières surannées. Jade fait également la connaissance de sa compagne de chambre, Janet. Celle-ci est affublée d’une horrible tunique orange et porte comme elle un collier autour du cou. En parcourant les couloirs du centre, la jolie blonde a eu un haut-le-cœur en découvrant les différentes inscriptions sur les portes des cellules : « chienne lesbienne », « putain criminelle » et pour ce qui la concerne « salope interraciale ».
La nuit est pleine d’angoisses et, au petit matin, Jade et sa compagne de chambre sont emmenées dans la salle principale qui sert à la fois de réfectoire, d’atelier et de lieu de punition. Elle y découvre trois autres pensionnaires, toutes habillées de tuniques vertes. Elle comprend donc que celles-ci se sont rendues coupables de lesbianisme. Il y a une blonde à l’air triste, Charlene, et deux brunes, l’une très masculine, Maria, l’autre, ravissante, avec un petit côté asiatique, Justine. D’une voix qui ne souffre pas la contestation, madame Tierney donne les ordres. Jade doit se mettre toute nue, enfiler les habits oranges, porter un collier de fourrure, puis, ultime humiliation, elle se fait couper les cheveux. C’est Maria qui se porte volontaire pour quasiment la tondre. Elle ne conserve en effet qu’une longue mèche de cheveux sur le devant. Ensuite, les détenues oranges, situées au bas de l’échelle par rapport aux lesbiennes, sont sommées de procéder au nettoyage de la salle.
Jade commence à comprendre le fonctionnement de l’établissement, basé sur une stricte et un peu absurde hiérarchie, qui détermine privilèges et châtiments. Si les salopes interraciales sont mal loties, la jolie blonde va apprendre qu’il existe une catégorie en-dessous de la sienne, celle des putains criminelles, habillées de rouge et la tête entièrement rasée. Le centre Jackson possède un jardin qui aurait été charmant s’il n’était occupé par des piloris et autres armatures punitives ainsi que de sinistres cellules dans lesquelles on doit geler. C’est dans l’une d’elles qu’Isabella Serratos, aux fautes sans doute terribles, a passé la nuit. La putain criminelle se déshabille aussitôt sortie de sa cage suivant les directives acérées de madame Tierney. Jade découvre à cette occasion un autre de leurs gardes, un inquiétant personnage laid au possible, le regard lubrique, toujours accompagné de deux chiens agités, Harvey Ouaret.
Ensuite, une cruelle flagellation est administrée par madame Tierney sur Isabella Serratos, enchaînée au cadre de bois. Les autres détenues sont forcées d’assister au spectacle à genoux et en silence. La jeune femme nue et sans défense pousse d’horribles hurlements qui n’émeuvent pas le moins du monde la directrice sadique ni la stupide policière. Quant à Harvey, son excitation s’en trouve décuplée. Une fois tout le monde revenu à l’intérieur du centre, c’est l’heure du repas et la routine reprend ses droits. Les deux représentantes de l’autorité déjeunent grassement tandis que les trois chiennes lesbiennes disposent d’un simple bol de soupe et que les salopes interraciales attendent leur tour, debout, en silence, les bras croisés dans le dos. Quant à la putain criminelle, elle est attachée au mur par le cou, nue, et elle devra laper sa pitance dans une gamelle posée sur le sol.
Les jours passent et Jade commence à s’habituer à sa nouvelle existence. Et cela consiste en des humiliations et brimades quotidiennes. D’une part, elle n’a plus aucune intimité. D’autre part, elle doit accomplir de nombreux travaux manuels. Enfin, la directrice est très imaginative. Masques, laisses, travaux absurdes, paroles blessantes, elle utilise tous les moyens à disposition pour soumettre ses pensionnaires. Heureusement, Jade a la chance de bien s’entendre avec Janet, sa compagne de chambre.
Au centre, le travail est varié. Il y a d’abord le nettoyage des bâtiments qui s’effectue de manière différente selon le statut. Les lesbiennes s’activent habillées, les salopes sont à moitié nues. Quant à Isabella la putain, elle est à quatre pattes et tenue en laisse. Il y a ensuite le jardinage, fatiguant en plein soleil mais au final plaisant lorsqu’il n’est pas accompagné d’une punition. Au bout de quinze jours, les jeunes prisonnières ont la désagréable surprise de recevoir la visite des policiers. Il y a Tony Marvel, Nathan Light et un autre officier un peu plus vieux. Ils sont venus afin de constater les progrès effectués par les différentes pensionnaires. Lors de l’interrogatoire, Jade est mise en difficulté. L’inspecteur a des quantités de reproches à lui adresser et il sous-entend qu’elle ne sortira pas de sitôt.
Après avoir sermonné Jade, Tony Marvel désigne Justine et il emmène les deux jeunes femmes au sous-sol. Le vieil officier à la coupe en brosse les accompagne mais pas le sympathique Nathan qui est sommé de rester à l’étage. Les deux prisonnières découvrent alors une salle dans laquelle elles n’étaient jamais allées. De bizarres cadres métalliques y sont installés. Jade n’a toutefois aucun doute sur leur utilité et son premier réflexe est d’essayer de fuir. Mais un coup de matraque la projette au sol. C’est le capitaine Karl Zolan qui en est le responsable et cela semble beaucoup l’amuser. Ensuite, l’inspecteur Marvel ordonne « A poil, les putes ! » et celles-ci s’exécutent. Finalement, elles sont attachées sur les instruments dont elles comprennent avec effroi le fonctionnement.
La séance peut alors débuter. L’inspecteur a choisi la jolie brune tandis que le capitaine souhaite se divertir avec la blonde à moitié tondue. Les deux jeunes femmes sont pénétrées par derrière, leur cul étant généreusement offert. Jade peut alors constater que Karl Zolan possède une bite gigantesque qui la déchire littéralement. Après les avoir bien baisées, les policiers se font sucer par leurs deux putes.
Pour finir, les deux policiers éjaculent sur le visage des jeunes femmes. Mais Karl Zolan n’en a pas encore fini avec Jade. Il lui réserve une ultime surprise. Lui présentant sa matraque, il déclare qu’elle va être punie pour sa tentative de rébellion. Alors, il lui enfonce l’arme dans l’anus et rit tandis que sa victime hurle. Le lendemain, les détenues sont toutes réunies dans le jardin et discutent des sévices que deux d’entre elles ont subis. Sur l’inspiration d’Isabella, elles décident de s’évader. Maria a pour mission de détourner l’attention de leurs gardiennes. Malheureusement, Charlene s’avère une balance et révèle aussitôt la tentative de fuite. madame Tierney ne pouvant courir du fait de son handicap, c’est Laura Devos, ainsi qu’Harvey Ouaret et ses molosses qui mènent la chasse. Les fuyardes n’ont qu’une maigre avance sur leurs poursuivants et, alors qu’elles escaladent un rocher, Janet, mordue par un chien, lâche prise et se brise le cou.
La mort de Janet plonge le centre pénitentiaire Jackson dans l’effroi. La directrice et son adjointe sont autant affligées que les détenues. Une veillée mortuaire se déroule dans la salle principale dans une ambiance sinistre, qui devient encore plus glaciale lors de l’arrivée des policiers qui supervisent le bon fonctionnement de l’établissement. Tony Marvel, et Karl Zolan désignent les responsables du drame, et notamment Jade et Justine. Celles-ci sont entièrement tondues et sommées de se déshabiller. Puis, elles reçoivent leur nouvel uniforme, de couleur rouge. Ainsi, elles rejoignent Isabella dans la catégorie des putains criminelles.
Les trois putains sont ensuite emmenées à l’extérieur et enfermées dans les lugubres cellules où elles passent le reste de la nuit. Dès le lendemain, leur punition commence. Descendues au sous-sol, les trois jeunes femmes doivent obéir sans sourciller aux ordres éructés par le cruel capitaine et le vicieux inspecteur. Jade est attachée à une grille les jambes en l’air, les orifices offerts. Isabella est placée sur un cruel appareil, un tube métallique lui rentrant dans le fondement. Quant à Justine, elle parvient à échapper à la pénétration en se jetant aux pieds de Tony Marvel et en le gratifiant d’une fellation à gorge profonde. Pour parachever leur humiliation, Jade est à nouveau sodomisée par la matraque de Karl Zolan et Justine doit lécher à quatre pattes le sperme répandu sur le sol par son dominateur.
Jade partage à présent la chambre de Justine et les deux putains passent la nuit nues et enchaînées au mur par le cou. Les jeunes femmes ont ainsi le loisir de lier connaissance et une certaine amitié commence à se créer entre elles. D’autant plus que Jade comprend que, malgré la répression exercée dans le centre pénitentiaire, Justine n’a pas renoncé à ses penchants homosexuels. La jolie blonde n’est pas non plus encore dressée, comme le souhaiteraient ses divers gardiens, masculins ou féminins. Ainsi, un matin, alors qu’une nouvelle séance punitive se prépare en présence des policiers, Jade déchaîne sa colère contre le pauvre Nathan Light, le seul pourtant qui témoigne un peu de sympathie en sa faveur. Elle est rapidement maîtrisée et Karl Zolan annonce qu’il va falloir passer à l’étape suivante : le protocole du chien.